Il faut donc se dépêcher de parler, avant que ce soit complémentent interdit.
Ça va venir très rapidement, plus vite qu’on ne croit, le prétexte sanitaire justifiera des peines pour mise en danger de la vie d'aux truies, ou tentative d' homicide…..
Un monde qui validait la thèse du Féminicide avait déjà perdu l'entendement, et même tout sens commun.
Désenclavés les troglodytes murés vont sortir, voûtés, atomisés, impuissants ! Pour les dissidents, d'’ici un an il y aura des camps de concentration.
L'état d'urgence sanitaire qui succède au confinement prouve que nous ne sortons pas de l'Engrenage. Cet Engrenage mondial, est le fascisme sanitaire. Pas la peine de pinailler sur ce mot, les dernières figures du fascisme Franco, Colonels grecs, Pinochet, lui ont ôté tout prestige.
Lire le Testament politique d’Hitler sur Franco.
Du fascisme ne reste donc que la définition simple et claire de Dimitrov : la dictature sans fard de la fraction la plus extrême du capital financier.
Nous assistons aussi à la fin complète des derniers segments d’indépendance, de l’apparence d’indépendance, du pouvoir judiciaire. L’Injustice, devenue tout à fait Yin, clopine derrière l’Etat totalitaire comme la putain derrière son maquereau.
Nous vivons aussi en direct la mort définitive de la liberté d’expression, les journalistes ne sont plus seulement des menteurs mais des caporaux.
Que les serviteurs des 1 % de possesseurs des moyens de productions, les flics, les crevures galonnées, les politicards, les juges, les journalistes, les pitres, que toute cette chiourme rende gorge, telle est l'idée qui, hélas, fera son chemin toute seule dans l'esprit des ardents.
Tout l’enfer entré dans leur âme incendiée de haine, les fait brûler d'impatience de se venger du mal qu'on leur a fait.
Ceci n’est pas un vœu, ni un conseil, ni un espoir, mais une prédiction.
Les pusillanimes tremblant devant des microbes, vont produire nécessairement leur négation, ceux qui n'ont pas peur de la mort. Elle n’est rien, le pire c'est l'enfer, pas l’enfer post mortem qui n'est qu'un conte de bonne-femme; l’enfer est ici-bas, ça l’a été, ça le redevient, et il n’y pire enfer que la servitude.
Cet enfer, dont certains entrouvrent les portes, devra le devenir pour eux !
Va, arme toi de bien plus que de patience et frappe avec science les valets des intouchables, diront bientôt les Hell’s Angels ou Nihilistes russes, selon qu'ils se sentiront Sudistes ou Russes. Tels seront les canons de la beauté politique à venir...
Beaucoup des plus exploités se détourneront de la racaille intellectuelle des demi-habiles, de leur demi-mesures, et leur demi-volonté, et quelques uns rejoindront les plus conscients. La rencontre de l’intelligence la plus évoluée et de la force la plus exploitée, est le parallèle de l'union de la plus grande puissance terrestre avec la plus basse racaille spirituelle. C'est le commencement de la fin.
S’ils viennent de décider de nous "tracer", bracelet-montre-électronique et tutti quanti, c’est qu’ils ont conscience de la possibilité du surgissement de ce nouveau Nihilisme russe.
« Et ce monsieur Bazarov qu'est-ce qu'il est, lui ?
— Je t'en prie mon cher neveu
— C'est un nihiliste.
— Hein ? fit Nicolas Pétrovitch.
Quant à Paul il était comme figé, tenant son couteau en l'air avec un morceau de beurre dessus.
— C'est un nihiliste, répéta Arcade.
— Nihiliste ? fit Nicolas Pétrovitch. Ce mot, autant que j'en puisse juger, vient du latin nihil, qui veut dire rien ; il doit donc désigner un homme qui… qui ne reconnaît rien ?
— Dis plutôt : qui ne respecte rien, enchaîna Paul qui se remit à beurrer sa tartine.
— Qui envisage toutes choses d'un point de vue critique, rectifia Arcade.
— Cela ne revient-il pas au même ? demanda son oncle.
— Non, pas du tout. Un nihiliste est une homme qui ne s'incline devant aucune autorité, qui ne fait d'aucun principe un article de foi, quel que soit le respect dont ce principe est auréolé. »
— Et d'après toi, c'est bien ? l'interrompit Paul Pétrovitch.
— Cela dépend pour qui, mon oncle. Il en est qui s'en trouvent bien ; d'autre fort mal. »
Père et fils, Tourgueniev, 1862
5 commentaires:
alors nous sommes plus rien ?
Cela dépend qui, Oncle Zig, il en est qui ne seront plus rien, d'autres quelque-chose de plus...
Tout à fait d'accord pour le fascisme sanitaire mais en revanche l'enfer post mortem n'est pas un conte, d'ailleurs ceux qui l'ont révélé et y ont cru ont donné leur vie sans crainte de la mort, c'est tout le paradoxe de votre doctrine.
Il faut le dire à tous ces chiens de garde...laisser nous nous tromper non pas une fois mais dix, cent fois...laissez nous nous péter la gueule, contaminer et être contaminer qu'est ce que cela peut bien vous faire?
a.c
Monsieur Gates et toutes cette clique veulent sauver l'humanité et rendre le monde meilleur...mais nous aussi! Mais nous voyions ça comme un atelier poterie, ça nous occupe tout au plus que quelques heures le samedi après midi.
a.c
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