Je prie tous mes fidèles lecteurs « mes semblables, mes frères », ma garde rapprochée :
l’Utile Nocif, Zig, et toi ma Puce, Causette, Antoine, Antan, Danny, Tonkin, là bas en l'Outre Mer, Landru dans l'outre-tombe, le grand Ibara, l’intermittente Orfeenix, Sextusempiricus, Robert8, Dromatoch, Seb et Sébastien, ainsi que l’ubiquitaire Brebis, et d’autres que j’oublie, et qui me pardonneront, tous mes commentateurs, je devrais dire mes collaborateurs, ainsi que la cohorte innombrable des anonymes, cybernautes de l'Univers (et au-delà), naviguant sur la toile et sous les étoiles divaguant;
de bien vouloir excuser cette absence de textes, cette carence de tirs de barrage, lors même que la Porcherie mitraille à balles réelles sur nos dernières tranchées, que l’actualité est comme autant de crachats puants sur nos durs visages pâles.
Mais je suis accablé de travail, besogne fastidieuse de logistique, je succombe sous le faix de la nécessité. Enchaîné par une tâche obscure, ingrate mais indispensable de « mise en œuvre », et qui devrait tantôt porter un fruit récoltable, dont j’espère partager avec vous le suc.
À plus tard, donc, si Dieu le veut, et que tous me veuillent absouldre.
Félix Lechat
dimanche 15 janvier 2012
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12 commentaires:
Dans l'attente de vos textes délectables soyez assuré l'abbé, que le soutient de votre garde rapprochée est bien présent dans la tâche qui vous occupe.
Nous sommes là, bel Abbé.
Prenez votre temps, avant que d'autres ne vous le prenne.
Sébastien
oui l'abbé nous sommes tous prés de vous par nos pensées et n'oublions pas vos textes admirables beaucoup de courage a vous l'abbé !
zig
Le plaisir est aussi dans l'attente...
Un billet de qualité tout les trois jours depuis quatre ans, ça s'apparente à un rythme effréné.
Vous seul savez la quantité de travail nécessaire, je l'imagine considérable
Il ne vous satisfait pas, mais nous, lecteurs, n'avons pas le doit de nous plaindre. Je crois qu'aucun de nous ne le fait, d'ailleurs.
Des liens invisibles unissent ceux dont la lucidité est douloureuse. Très honoré et touché de l'adjectif que vous avez utilisé pour me définir. Croyez qu'à mes yeux, par vos textes magnifiquement exceptionnels, vous êtes grand aussi. Comme vos nombreux admirateurs et admiratrices j'attends avec impatience de pouvoir savourer vos prochains billets. Encore merci à vous et surtout préservez votre santé...Amicalement,
Ibara
Jusqu'alors, j'ignorais qu'il serait possible qu'union, égrégore, se fasse par la pensée libre d'absolu sur un tel support...
Que D.ieu, "ce sacré" imprononçable soit en nous et bénisse même à leur insu les enfants des derniers enfants, jusqu'au grand jour des lumières.
Nous avons de vous merci et de votre mal personne ne se rit, mais quand même au moment où je me réabonne, c' est balot pour moi!
Merci à tous pour vos encouragements ! J'y puise quelques forces suppl. pour venir à bout de mon harassement...
Puisque la Porcherie mitraille à balles réelles sur nos dernières tranchées, faisons en sorte que le prochain assaut ne soit pas un suicide. La situation, nous le savons, nous exhorte peut-être malgré nous à construire si nous ne voulons pas mourir emmouscaillés par les déjections porcines.
Courage l'abbé !
Ton silence sera pour moi et beaucoup d'autres ,un "castigo" ,une punition .
Mais prends ton temps pour nous recompenser de tes incompables textes dont je repete qu'un jour ,tu devrais les editer .Pace e salute .
Tonk
le dromadaire boiteux vous salue.
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