mercredi 13 juillet 2011

La Peste brune

Ce soir , nous allons manger les pains de dynamites,  en travers la gueule, vigoureusement balancés par de gentils petits Mineurs artificiers, les mineurs du fonds Taubira.
Ensuite nous sommes allés sur les Champs

C'est l'hallali qui sonne, avant de lancer les bêtes pour la remonte :  Gras de subventions, les huileux négociants en Ouacisme, viennent de se voir offrir tout le Champ-de-Mars afin d’y apparier les amants des blonds monts-de-Vénus et leurs Sans petites-Culottes, pour la prise de la pastille. 
D'ailleurs, le 14 juillet, il n'y a plus que la progéniture de la parentaille regroupée qui fête encore quelque chose... la prise de la Courneuve je présume.
C'est normal, ces récents budgétivores calamiteux "ne sont pas de France, ils sont du Quatorze-Juillet." 

Et puis la « Révolution » n’est-ce pas la « Fête », la grève générale une « rave » party généreuse ?
Car telles sont les nouvelles topiques utopiques des bréneux de la permanente révolutionnaire, rastas albinos qui n'ont pas la grosse tête malgré les plâtrées de bouse de zébu dont ils enduisent leur chevelure.
Il y en aura à profusion, n'en doutons pas, sur le Champ-de-Marx, pour danser la Carmagnole sous leurs bonnets phrygiens multicolores en tricot, qui pendent comme des couches-culottes bien remplies.
Souhaitons leur, charitablement, de se faire encore poignarder ou piétiner par leurs potes, comme lors de toutes ces bacchanales de sang métis.
C’est ainsi que Clio instruit les consciences rétives qui ont de la matière fécale à la place de la matière grise.

On n'est pas là pour se faire piétiner
On est là pour se dandiner.

Les grands frères, beaucoup plus conséquents, iront plutôt incendier les voitures de moins de 250 000 euros, dans les villes et sur les Champs.
Verra-t-on les Verrats de bon ton faire fi du qu’en dira-t-on et mettre de la mort-au-raton ?  Prendre les mêmes terribles mesures prophylactiques raticides que l'an passé ?
Lorsque le boutefeux de l'Intérieur frappant du poing sur la table, avait refusé que le Quatorze soit gâté « par le comportement de voyous sans scrupules » !  Et pris en conséquence, à la stupéfaction générale,  la seule mesure virile qui s'imposait : « Aucun chiffre de voitures brûlées ne sera donné » en pâture à la presse !
Les pyromanes sans scrupules n'auront qu'à bien se tenir.

13 commentaires:

Antan a dit…

"Notre" 14 juillet n'est plus qu'un feu d'artifices de paillettes allumé par les collabos de notre France qu'il continue à détruire.
Quel terrible sonnet et quel pathétique et vibrant appel que le tocsin de votre dernier tercet.
Merci l'Abbé.

Anonyme a dit…

admirable l'abbé votre écriture et le derriere de l'écriture le font non visible encore plus admirale merci pour cet oeuvre que de finesse !

zig

Anonyme a dit…

Moi "moricaude",issue de la "parantaille regroupée " et mes gentils petits moricauds bien entendu, fêtons tous les 14 juillet dans notre chère petite ville de province,(si nous ne partons pas en vacance, dans les montagnes du rif Marocain).

Mouslima/Thouraya ou constellation des pléiades)

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

@ Mouslima : navré de vous avoir offensé ma chère enfant, vous n’étiez nullement visée. Si tous étaient comme vous, je me serais fait l’Alpha du Centaure le plus constellé et je chanterais tous les jours sur ma Lyre pour la venue de myriades, que dis-je, de pléiades de Thouraya du Croissant, telles que vous, en remplacement de l’Amas Local, le ramas du Trou Noir qui était prêt à mettre en orbite le Mari de la Cocue galactique. Je vous prie de me croire.

Antan a dit…

Mouslima,

Si vous venez sur ce site, c'est bien que vous y trouvez un écho à vos pensées et sentiments.
Et vous avez raison.
Vous ne vous trompez pas de combat.

Anonyme a dit…

Vous êtes entièrement pardonnez mon cher abbé.

Thouraya

Jean-Louis a dit…

Je suis un visiteur régulier de votre paroisse, cher abbé, et j'ose une question, étant atteint moi même du même mal que vous, soit un léger sifflement perpétuel, oubliable dans la journée, difficilement supportable dans le silence de la nuit ...
Comment allez vous ?

esprit-i-monde a dit…

Toutes les églises supporte les vents et tempêtes... à bout de sifflets.
Laissant l'homme dans ses solitudes, sous les gargouilles, quêtant un peu des existences probables.
Sensationnel que tout cela. Affaire de décors: disait-il... "tout est affaire de décors, et de convictions: ajouterais-je".
Focalisation de prisonniers des terres, déambulant fantômes.

Nocificateur

esprit-i-monde a dit…

Je me permet pour rappel utile, on ne sait jamais?: Une paroisse (du latin : parochia ou paroecia, qui vient lui-même du grec ancien παροίκια / paroikia, « séjour dans un pays étranger », né de l'emprunt du terme παρέχω / parekhô, « fournir, offrir, présenter »)

Anonyme a dit…

Cher Abbé, c'est la Brise de la Pastille que vous nous décrivez là, nauséabond of course!


L'Abbé Rézina

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

Jean-Louis, voici ce que Félix m'a prié de vous dire :
Il m’arrive encore de faire allusion à ce mal obsédant, lorsque je ne peux pas faire autrement.
Je ne conçois d’en parler qu’au clair de la lune, en proie aux lueurs térébrantes de ma folie sifflante.
Mais donner des nouvelles comme ça dans la vie ordinaire, quand la chandelle est morte, non ça je ne peux pas. Ne le prenez pas en mauvaise part.

Anonyme a dit…

Antan, c'est pire qu'un écho que je trouve ici, c'est le reflet de mon état d'esprit,dans les écrits de l'abbé ,cette plume exceptionnelle au service de la vérité dont je suis tombé amoureuse dès la première lecture.

Mouslima

Antan a dit…

Mouslima, belle déclaration que celle-ci !