J’ai toujours apprécié Gabriel Matzneff, comme écrivain.
Il vient d’être la victime collatérale de la pandémie de dénonciation des gorets par de petites cochonnes qui les [a] valaient bien. Avides de succès, elles rêvaient toutes de devenir les favorites en titre de Ben Cinema. Hélas, ce dernier s’est mis à grogner derrière d’autres derrières plus roses. D’où leur ressentiment. Mais le féminisme va leur offrir le moyen d’assouvir leur vengeance avec le déballage des turpitudes. Faire les intéressantes et faire coffrer leurs zex, que demander de plus ?
Merveille du féminisme qui vous ressuscite la pudeur, comme l’hyménoplastie vous recoud un hymen flambant neuf !
Au début les dommages de ce mouchardage suidé ne frappaient que les Porcs d’élection, les grands mâles dominants de nos temps dominés. Bien fait pour leur groin, mais ce n’était qu’un début ! Bientôt nous deviendrons tous des porcs en puissance.
Matznzeff marque la transition.
On lira ceci.
Je reste insoucieux de tous ces rapportages, vivant à l’écart des foules et des houles, loin de tous les relents de moules avariées et des morues racisé.e.s.
En réalité la norme c’est la répression libidinale masculine, la haine de la liberté du sexe prétendument fort. La seule licence accessible au plus grand nombre ce sont les licenciements. Ce que veulent les féministes, mais c’est le pénal ! "L’Envie du pénal", comme l’a dit Philippe Murray.
La haine de Don Juan, et de ceux que l’on croit tel. Sauf lui les hommes sont naturellement soumis à la femelle. Lire la plupart des commentaires à la suite de la mise au point d’Alain Soral sur l’affaire Matzneff.
Les solitaires sont condamnés, leur race bientôt éteinte, il n’y a plus pour ce monde pitance que pour la chiennerie.
dimanche 19 janvier 2020
mercredi 1 janvier 2020
Mes vieux voeux
Deux mille vingt
Ne doit point venir en vain !
Premier Vœu lu par le très peu
Que je forme avant Trépas :
Que cesse ce FEMINICIDE
Qui décime sans cesse nos sœurs !
Que de la session de nos cœurs
Naisse l'amour infanticide.
Et qu'un Climat bien refroidi
S'instaure à jamais entre elles
Et nous, qui déployions nos ailes
Loin des minuits et des Midis,
Au zenith de nos siestes sylves;
Et cependant quand vous dormiez
Nous fuîmes vers les ramiers !
Même aux p'tits pois, l'on n'en salive !
Nous fuîmes vers les ramiers !
Même aux p'tits pois, l'on n'en salive !
Hors de question qu'on les dévore
A bas l'espèce carnivore !
A bas l'espèce carnivore !
Or donc, je récapitule :
Femmes, Bêtes et Frimas
Des trois règnes sont nos dadas.
Je suis contre la Canicule
Et contre l'Anéantissement
De toutes celles qu'on enlaçait,
Et bien que l'on en soit lassé,
On ne les tue pas pour autant !
Etant un Vegan élégant
Je ne porterai plus de gants
Dans les transports de barbares!
Du reste les jeunes personnes,
Lèvent leurs sièges à présent
Parfumés de leurs pheromones
Pour les céder en souriant,
Car elle me sourient, les Souris !
Elles n'ont plus peur du vieil homme !
"Aime et Pullule", Dieu te sourit
Par la voie de son factotum :
« Rien ne peuple comme les gueux »,
Et ce gueux de Bergoglio
Par un jésuite imbroglio
Veut ouvrir les frontières aux queues
Venues d'Afrique et fricassées
Aux cyprines des vieilles moules!
Enjoignant la hideuse foule :
« Multipliez et croassez »!
Lors, ce sera mon dernier Vœu :
Sous aucun prétexte je ne veux
Que par quelque lien l'on m'unit
A ce parti de cul-bénits,
De grenouilles de bénitier
Que l'on voit sauter d'importance
Dans le vivier de dissidence
Les y voir, c'est grande pitié !
Mais je serai sans véhémence :
La violence est toute en la science
De mon libre esprit qui danse !
Sous aucun prétexte je ne veux
Que par quelque lien l'on m'unit
A ce parti de cul-bénits,
De grenouilles de bénitier
Que l'on voit sauter d'importance
Dans le vivier de dissidence
Les y voir, c'est grande pitié !
Mais je serai sans véhémence :
La violence est toute en la science
De mon libre esprit qui danse !
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