Philistine me fait remarquer, après l'aimable présentation de comptoir de Réconciliation Nationale, que Soral a parlé beaucoup plus que Dieudonné. Par là, l'Inénarrable voulait accréditer la thèse vallseuse selon laquelle l'Humoriste serait manipulé par le "théoricien national-socialiste".
Rappelons les propos de l'Ibère à Sion quand il n'était encore que le premier Flic Sioniste d'Ex-France :« Dieudonné M'bala M'bala n'était que le symptôme d'un mal malheureusement plus profond. Alain Soral est celui qui, par son parcours, l'utilisation du Net, les manipulations auxquelles il se livre, les réseaux qu'il a constitués, unit et fédère, de façon inédite, le front des extrêmes. »
Pour ma part, ai je rétorqué à Philistine, j'ignore qui a causé le plus, mais ce qui est sûr c'est que la R.N emprunte davantage au « dieudonisme » qu'au « soralisme ».
Dieudonnisme triomphant : métissage, africanisme.
Apolitisme : pas un mot sur le gouvernement.
Si le principe central n'est pas la guerre contre le Pacte et le Gender, qu'est ce donc ?
- Le Choc des civilisations ! Nous sommes dans une avant-scène de théâtre de guerre civile ! Toute la doctrine repose sur l'imminence d'un Conflit de Civilisation, attisé par la haine raciste des culturo-mondains de la Sainte Famille talmudique.
Contre eux, la tâche urgente de l'heure doit être la Réconciliation avec Bouteldja.
Fort heureusement, une étique beauté, osseuse et trempée dans l'encre, surgit inopinément pour rehausser le débat et remettre au gout du jour un peu d'identitaire latent. Éternel retour du balancier, qui reviendra, n'en doutons pas, avec toute la puissance des contenus refoulés, inconciliables et irréconciliables.
mercredi 26 novembre 2014
jeudi 20 novembre 2014
Sigismund
un peu de physiognomonie s'il vous plaît
Le féminisme fait croire au Mâle qu'il court après la Femelle alors qu'elle l'appelle.
Et quand elle le sollicite comme aujourd'hui, avec une rare obscénité, il faut une répression redoublée. Quand la femme est tenue en tenue décente l'homme se passe d'elle aisément. Les Arabes, chez eux, le prouvent. Egalement les couvents d'hommes, exempts de l'impureté fondamentale des moniales cloîtrées.
A contrario la gynécocratie exige l’État policier. Par sa constante Envie du pénal la volonté de puissance femelle révèle son secret.
Sigismund est à cet égard un maître explorateur de la psyché féminine.
Mais le Juif mussolinien, cocaïnomane, amateur de cigares et misogyne, Sigismund n'a pas la cote. C'est le moins que l'on puisse dire.
Grâce à cette aversion, le poussah féministe, le "Philodophe" gonflé à l'hélium médiatique Onfray est en passe de devenir l'Idole des jeunes de la dissidence !
En vérité Onfray, sans le savoir, n'a fait que reprendre une partie de la critique contre Freud d'autres psychanalystes Juifs, comme Fromm ou Reich, gauchistes et féministes, qui ont inversé l'analyse freudienne.
Pour Freud, (Tabou de la Virginité, 1918):
"Derrière l’envie de pénis se révèle l’amertume hostile de la femme envers l’homme, amertume dont les productions littéraires des ‘émancipées’ présentent les signes les plus évidents."
Pour Fromm et Reich au contraire c'est l'amertume des mâles envers la femelle qui est patente et qui révèle un complexe d'infériorité de l'homme : "sur le terrain de la fécondité : ils refoulent leur infériorité biologique, leur incapacité à faire des enfants, à les concevoir, les porter, les mettre au monde. Voilà pourquoi, en compensation, ils affirment leur pouvoir en soumettant les femmes."
Ainsi c'est l'homme qui souffrirait d'être homme, de n'être pas aimé, cependant que la femme ne souffre que d'un manque de puissance sociale !
C'est cette Psychanalyse risible qui domine aujourd'hui, et que l'Onfray se garde bien de critiquer, nullement celle, toujours dérangeante, de ce bon vieux Sigismund.
"Derrière l’envie de pénis se révèle l’amertume hostile de la femme envers l’homme, amertume dont les productions littéraires des ‘émancipées’ présentent les signes les plus évidents." Sigismund Freud (Tabou de la Virginité, 1918)
"C’est un fait connu, et qui a donné aux hommes ample matière à récrimination, que souvent le caractère des femmes s’altère singulièrement une fois qu’elles ont renoncé à leur fonction génitale. Elles deviennent querelleuses, tracassières et ergoteuses, mesquines et avares ; elles font ainsi montre de traits d’érotisme sadique anal qu’elles ne possédaient pas auparavant, durant leur féminité."
"Le secret de l’imbécillité physiologique des femmes réside dans le fait qu’elle est une conséquence du refoulement sexuel. Comme on leur interdit de penser à ce qu’il y a de plus valable pour elles, l’activité de la pensée en général n’a plus de valeur du tout."
"La femme a le sens de la justice peu développé, ce qui s’explique par la prédominance de l’envie dans sa vie psychique [...] Ses intérêts sociaux sont moins développés et ses capacités de sublimer ses passions sont plus faibles que ceux des hommes."
Même si la femme "doit être jugée avec indulgence et tolérance dans les domaines où elle est en retard sur l’homme", "Il est vrai, dit Freud, que la femme ne gagne rien à étudier et que cela n’améliore pas, dans l’ensemble, la condition des femmes. En outre, la femme ne peut égaler l’homme dans la sublimation de la sexualité"
"L’infériorité intellectuelle de tant de femmes, qui est une réalité indiscutable, doit être attribuée à l’inhibition de la pensée, inhibition requise pour la répression sexuelle."
"[...]l’enfant ne se comporte pas autrement que la femme moyenne inculte, chez qui subsiste la même disposition perverse polymorphe. Dans les conditions habituelles, celle-ci peut rester à peu près normale sexuellement, mais sous la conduite d’un habile séducteur, elle prendra goût à toutes les perversions et en maintiendra l’usage dans son activité sexuelle. Dans son activité professionnelle, la prostituée met à profit la même disposition polymorphe et, par conséquent, infantile ; et, si l’on considère le nombre immense de femmes prostituées et de celles à qui il faut accorder des aptitudes à la prostitution bien qu’elles aient échappé au métier, il devient en fin de compte impossible de ne pas reconnaître dans l’égale disposition à toutes les perversions un trait universellement humain et originel."
Rappelons que Sigismund admirait Weininger. Il ne s'agit pas de prendre parti pour ou contre la théorie psychanalytique. Mais de comprendre que Onfray est LE Penseur de la Médiocrité, monsieur Homais fait philosophe.
Bien sûr qu'il faudrait des "Universités Populaires, comme le voulait Georges Politzer, pour vulgariser la Philosophie, sans quelle devienne vulgaire comme avec Onfray, car ce qu'il enseigne c’est la vulgarité de penser.
dimanche 9 novembre 2014
Memento muri
L’an de disgrâce 2014 sera une année « memento mori » puisque nous commémorons les Grands Abattoirs sublunaires, lorsque nous nous égorgeâmes dans les fossés et les chemins des Dames avec nos cousins germains, il y a un siècle.
Mais permettez-moi de rappeler un autre anniversaire, les concernant, et qui n’est pas, ou peu, fêté. En effet, le 9 novembre 1989, à 19h, Günter Schabowski du Politburo du SED, le Parti stalinien de la République démocratique allemande, annonçait officiellement la fin du Mur de Berlin.
On divulgua le code du cadenas qui fermait à double-tour le Rideau de Fer : « libre à vous tous de quitter la boutique si bon leur vous semble ! »
Il leur sembla !
Dès 19 h 04 des foules énormes de Berlinois de l’Est se ruèrent aux postes-frontières de la ville pour obtenir des visas, comme de jeunes repris de Justice de l’Algérie, boutés par Flika, et avides de venir brandir leur drapeau à croissant, ici, en Ex-France, afin de tout niquer.
Or donc, lorsque l’on évoque ces jours fastes on parle de LA Chute du Mur, comme s’il était tombé tout seul ce bon vieux Mur, mûr pour la chute en quelque sorte.
On dirait qu’il il a chu dans l’humus, comme ça, à point nommé, qu’il se laissa effondrer de son propre mouvement, de lassitude presque. On oublie que ce fut d’abord une destruction du mur par le peuple allemand. Car si cet écroulement tombait vraiment à pic, on ne doit pas méconnaître les coups de pics rageurs du vieux peuple allemand.
Entre juin et novembre 1990, le Mur fut démoli matériellement par une population hérissée de pioches, d’alpenstock et de burins, ivre de réconciliation nationale !
En vérité on peut dire que le 9 novembre 1989 le mur de Berlin s’est effondré sous la poussée des masses populaire. Et cet effondrement préludait à celui de l’URSS.
Les temps étaient mûrs. Derrière le rideau de Fer les peuples s’égayaient dans une grisaille oppressive repeinte en « socialisme réel ».
Et dès le début, à Berlin en 1953, à Budapest en 1956, à Prague en mai 1968, la classe ouvrière se souleva contre le pouvoir du Pacte de Varsovie.
D’ailleurs en mai 1968 le Parti communiste chinois déclara : « Que les chars soviétiques soient entrés à Prague, loin de représenter la force du social-impérialisme, est au contraire le signe que son empire néo-colonial commence à s’effondrer. »
Il faut dire qu’en Chine on n’y allait pas de main morte dans la caractérisation du régime de l’URSS. Mao écrit en 1960 : « En URSS aujourd’hui, c’est la dictature de la bourgeoisie, la dictature de la grande bourgeoisie, c’est une dictature de type fasciste allemand, une dictature hitlérienne. »
Rien que ça ! Dépassé les trotskistes, avec leur piteuse « bureaucratie stalinienne. »
L’URSS c’était le nazisme !
Ceci peut être une clé pour comprendre pourquoi tous les anciens Mao, tel le Glucksmann passé de Mao à Sarko, se sont tous reconvertis dans le néo-conservatisme le plus décidé. Ou plutôt comment les anti-communistes forcenés de l’époque, s’étaient engagés dans le maoïsme.
L’ennemi c’était l’URSS et le Parti communiste français.
Mais, mon Dieu, il n’y a pas non plus, de quoi pavoiser, en parlant d’un événement imprévu et révolutionnaire.
La chute du Mur de Berlin n’a pas ouvert sur de l’inédit, mais bien plutôt sur de l’uniformise à Sion, parfaitement entropique. Il était tout à fait mûr pour s’effondrer de lui-même. D’abord il était copieusement tagué. Et les tags sont des marques de putréfaction qui ne trompent pas.
Du point de vue du temps sagittal, qui, dit-on serait le nôtre, le peuple, l’heure venue, se comporta comme le poussin arrivé à terme qui fendille sa coquille, quand il se sent prêt à aller gambader joyeusement dans les élevages en batteries. Sans plus.
Ainsi, le 3 octobre 1990, grand peuple enfin réunifié, Aigle qui fit naguère trembler la terre entière, il renaquit sous la forme d’une volaille dodue et hormonée, Angela, la grasse dinde apprivoisée qui se sent pousser des ailes chancelantes.
Au fond, la Chute du mur de Berlin intervint dans les délais « hegeliennement » raisonnables, je veux dire qu’il allait dans le « sens de l’Histoire », qu’il était en quelque sorte inévitable, seulement quand les temps seraient mûrs.
Tout vient à point pour écorcher vif qui ne sait pas attendre, et ne remettre jamais, au grand jamais, en question le Grand Désordre établi.
Tout a toujours été long, lent, con et chiant.
Telle est la Loi du Démiurge.
Mais si cet événement ne se fût pas produit de lui-même, ou par des causes élémentaires, en dehors des causes historiques d’aucuns pourraient y pressentir une origine non-humaine, quasi transcendante, inhérente à toutes les chutes, depuis la Chute d’Adam.
Notre entendement ordinaire se heurte à un Mur conceptuel. Et même à un mur métaphysique Parce que cette chute d’Umur, qui l’eût Krur ? ressortit à une guerre occulte et contre-initiatique.
Il est un autre MUR, sacré, infranchissable, insurmontable et indestructible ! Haut, Altissime, transcendant !
C’est le Mur de Séparation ! seule frontière indiscutable et indiscutée dans ce monde où où il n’y a plus de frontières, « tralalalala »....
Lui-même fils barbelé du MUR de l’Amante à Sion, où l’on pleure pour toucher des répare à Sion, car tous les murs sont des Murs de l’Argent.
Richesse et morgue aristo-légale en deçà, misère et morgue médico-légale au-delà. Toujours d’un côté l’on y croupit et de l’autre on s’y vautre dans les délices.
Félix le Chat
Extrait de CCCP et autres Chutes
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