Quand le muscle du Franc-Sphincter est grand ouvert, un mucus tombe dans ce récipient, déféqué en tranches par des récipiendaires qui sont d’authentiques cloaques à logorrhées.
Chaque jour que Hertz fait, sur le Sévice Public, cette épaisse moraline est sécrétée par le plus grotesque ramas de grognasses, dont les patronymes, comme un fait exprès malicieux, représentent à eux seuls des portraits à charge, laissant présager des physionomies bouffonnes, corroborées à chaque fois par les recherches Google-images.
Ah, ces gueules !
Leurs prénoms féminins exaspérant, comme par antinomie, l’agressivité de leurs noms à se taper le cul par terre, cette tourbe de Strings Intellectuels, nerveuses et tendues comme des cordes à violon, nous infligent les inflexions fausses de leur diction.
Claire Serrevagin, Vanessa des Courroux, Sarah Guy-Bedos, Labila Blabla, Nadine Einstein, Tara Schlagueule, etc., ces dindes ouvrent largement leur bec et laissent tomber leur voix.
Le cortex s’en saisit et dit : quoâ, quoâ ? Qué qué disent ?
Car les voix femelles sont spécialement conçues par la Grande Nature pour atteindre l’aire auditive primaire, dans le lobe temporal, sans pénétrer jamais dans l’aire de la compréhension dite « œil de l'esprit », dans le lobe occipital.
Si l’on reçoit 7 sur 7 leurs trilles qui vrillent, on ne les entend guère !
L‘antique sagesse disait : « La femme parle, on ne l’écoute pas ».
L’Oligarchie toujours soucieuse d’obscurcir les consciences a saisi tout le profit de faire perpétrer leurs pseudo-analyses frauduleuses par des femelles.
Ainsi l’Egypte.
Je ne sais plus le nom de l’envoyée spéciale en ce lieu, quoi qu’il en soit c’est une fourrestière, la même qu’on avait envoyé mentir en Libye, et accessoirement dilater ses tripes au lit à Tripoli, avec d’impubères berbères.
La seule chose qui aurait pu être délectable, si la parole des vrais satiriques était libre, O senteur d’irone de l’ironie, eut été de relever à quel point cette pouffiasse gauchiste, antimilitariste et anti-islamique, a les yeux de Chimène là bas, pour l’Armée et l’Islam, incapable de dissimuler sa haine de la classe ouvrière égyptienne et de la jeunesse masculine insurgée.
En cette houleuse mer égyptienne, ces morues, spécialement dépêchées dans ces eaux troubles, et qui ne se font pas rejeter par-dessus bord, nous ont empêché de respirer les embruns de vent du large que toute révolution exhale.
Et désormais, réjouies par la contre-révolution islamique, ce grouillement interlope de journalopes, et sentant le poisson, agglutinées dans leurs luxurieux viviers, lèvent lourdement leurs culs corrompus pour égrener dans les perches, à heure fixe et de leurs voix au timbre suraigu, leurs chapelets de mots impossibles à nouer ensemble.
On n’en peut rien saisir :
Impossible de suivre à cause des grognasses
Hystériques, la foule à l'assaut décisif
Sans savoir si là-bas les jeunes populaces
Eussent forcé le mufle aux poussahs répressifs
Hystériques, la foule à l'assaut décisif
Sans savoir si là-bas les jeunes populaces
Eussent forcé le mufle aux poussahs répressifs
félix lechat