samedi 31 octobre 2020

Le vieux pays

Le vieux pays

sur l'air du Plat pays


 Avec ce Roitelet il semble qu'il divague 
Et sa deuxième vague qui renforce le vague, 
Et ces vagues docteurs vendus a Big Pharma 
Esculapes véreux qu'un virus alarma. 
Avec infiniment de souffrance à venir 
Avec ce roitelet écoutez le mentir 
 Au Vieux pays qui fut le mien. 

 Avec la Cathédrale qu'ils ont mise au bûcher 
 Sous les éclats de rire de notre Pinochet, 
 Offerte en holocauste au sinistre Yahvé 
 Qui veillait pas très loin, à côté, rue Pavée 
Avec la dictature pour unique bonsoir 
Avec la dictature regardez la vouloir 
Le vieux pays qui fut le mien. 

 Avec le bord de mer laissé aux canidés 
 Chiens de garde aux aguets des tristes covidés 
 Enfermés à la niche et portant muselières. 
Devant tout l'océan, Cerbères au cœur de pierre 
Qu'une goutte de feu pourrait anéantir 
Devant tout l'océan entendez le haïr 
 Le vieux pays qui fut le mien. 

 Avec de l'espérance qui descendrait en France 
Ce pays mal peuplé que fauche la souffrance 
Avec de la Pucelle qui redevient Lorraine 
 Quand les affres factices se changeront en Haine 
 Avec notre Jehanne voyez la revenir
 Avec notre Jehanne regardez les courir 
 Hors du pays qui est le mien. 

 fictitious wave 

La deuxième vague des surfeurs en eaux troubles  
Peste Noire qui succède à un rhume des foins 
 Féministe et raciste, le black live machin 
 Tout en roulant hagard ses yeux troubles 

 Le monde est devenu un immense hôpital 
 Où les reclus vaincus suffoquent sous un masque 
 Par la peur d'un Virus, mais pas du Capital 
 Qui leur a insufflé cette terreur fantasque. 

 Diafoirus 

Avec des gants de chirurgien 
 J'ai farfouillé dans leurs entrailles 
Et j'ai trouvé lilliputien 
Micro- virus de la canaille





vendredi 16 octobre 2020

Causerie au coin du couvre-feu

I
Le Couvre-feu, et sa réduite sociabilité, laisse peu d'occasions de cultiver l'art de la conversation.
Une mienne connaissance, bigote et crypto féministe, m'ayant dit à propos de l'emprisonement de Hervé Ryssen que « la liberté d’expression ne devait pas être confondue avec l’expression de la Haine », je lui ai rétorqué que la haine n'était qu'un sentiment, humain trop humain, parfois bien légitime, et qu'elle-même, qui avait milité pour libérer la criminelle avérée Sauvage avait donc justifié « la Haine » homicide de cette dernière. 

 — Ce n'est pas la même chose, cria-t-elle, indignée, sa Haine était une haine privée, non pas des propos de haine aveugle et systémique contre des gens en vertu de leur origine ou de leur classe ! La nazisme a commencé comme ça je vous le rappelle ! 

 — Hé non, suprême Volaille de tradition, lui ai je rétorqué avec cette urbanité qui fait mon succès auprès du sexe que l'on a pu trouver beau en des temps reculés, rien n'a jamais commencé comme ça ! Par des mots, des phrases ! Et le nazisme moins que tout le reste. 

 M'ayant grossièrement tourné le dos, je n'ai pu étayer mon argumentation.
 Faisons le ici, s'il vous plaît. Le nazisme n'a pas eu pour origine des mots, des phrases, des livres, mais : 
 1 l'abjecte boucherie impérialiste de 14-18 
 2 l'écrasement des ouvriers désarmés dans les rues de Berlin par la soldatesque qui n'avait pas su vaincre dans les Flandres et l'Argonne. Les corps-francs se vengeaient de ces salauds de communistes qui les auraient poignardés dans le dos. (Pourtant ces salauds de communistes leur avaient rendu un fier service en Russie !)
 3 le blocus et les réparations démesurées exigées par la fRANCE. 

 Donc le National-socialisme allemand est la conséquence : 
→ de la rapacité de l'impérialisme anglais horrifié par le dynamisme du jeune capitalisme allemand 
→ de la pourriture de la social-démocratie allemande et du gouvernement des sales parvenus Noske et Ebert. 
 → de la vilenie de la bourgeoisie capitaliste française qui fit la guerre uniquement pour exterminer conjointement le prolétariat révolutionnaire et les meilleurs fils de la ci-devant noblesse, et fit subir à l’Allemagne une dure et humiliante occupation par des troupes Black Live Matter avant la lettre. 
 Si des paroles de haines ont été prononcées, ce ne sont pas elles qui ont crées ex nihilo le jeune mouvement fasciste, mais l'implacable guerre civile de 12 ans menée par une armée de volontaires en chemises brunes, le génie politique d'Hitler, la crise systémique internationale du capitalisme qui précipitait le capital allemand dans une impasse, l'atroce misère matérielle et la cruauté d'une injuste oppression. 

 Mais si j'avais dit tout cela à cette sotte péronnelle de valeurs actuelles, je serais plus sot qu'elle, car tenir des propos intelligents à une stupide féministe BCBG est digne de la Laiterie suisse et ses trayeurs de mamelles. (Qu'est que c'est cette mode suisse ? La suisse comparée à la France, historiquement, ressemble à une laiterie près d'une centrale nucléaire.)

 II

Par delà les aimables zopinions de toutes ces aimables Dindes romaines, comment un peuple réputé si spirituel comme celui de l'af-RANCE a t il pu sombrer dans les abysses de l'abrutissement et de la soumission devant une terreur thérapeutique parfaitement artificielle ? 
Quel infantilisme, quel manque de force intellectuelle !  Le féminisme tout puissant qui a élevé le politique à la hauteur d'une perpétuelle scène de ménage a définitivement atrophié et l'intellect et les sensations des 'contents-pour-rien' qui présentent presque tous, comme le dit Nietzsche, «un côté inauthentique et exhibitionniste ».  

D'autres, qui sont mes frères et sœurs dans notre asile sublunaire, subodorent quelques relents de chambre capitonnée et de camisole de force du côté de chez Macron.  Un couvre feu inutile, irresponsable, insensé !
Hélas, je crains qu'il soit au contraire parfaitement sensé, logique et implacable. Il s'agit du lent apprentissage de la dictature militaire qui continue tranquillement de s'installer, avec ses mises aux arrêts domiciliaires, ses masques et ses couvre-feux. 
Même si l'Etat Major de l'Otan-fRANCE ne met pas en avant un général quatre étoiles, et laisse l'apparence du pouvoir à son Pantin, c'est bien, inéluctablement, inexorablement la dictature militaire que l'on apprend aux français en vue de la future guerre contre la Russie. 
 Si l'on rapporte la dictature sanitaire à la lutte des classe en France on a la gradation : Bataclan-Etat d'Urgence,  Révolte Fluo, Dictature militaire.
La caste militaire dégénérée ne fait plus illusion que chez les Romains, car elle va encore à la messe. Mais ces Saint-Cyrien sont autant d' anti Syrien, qui ont été les transporteurs de djihadistes puants à Raqqa et ailleurs. 
Nous sommes tous égaux devant la terreur sanitaire, mais parfaitement inégaux quant à sa perception.
Voilà mes chers amis ce que je voulais vous dire, au coin du couvre-feu, avec un goût de cendre dans l'âme. 


lundi 12 octobre 2020

Crevure galonnée

On peut porter un bel uniforme de Général quatre étoiles, avoir les narines consciencieusement épilées, et n'être qu'une estafette du Nasal, une crevure galonnée, un pourvoyeur de cadavres.
On peut être Saint-Cyrien et anti Syrien, là bas comme ici, en laissant la racaille djihadiste faire du bon boulot au Bataclan, comme à Raqqa.
On peut être le Garant de l'Ordre, et laisser foutre un tel bataclan, qu'il faille un Etat d'Urgence pour le rétablir.

On ne saurait reprocher à un militaire d'Opéra-Bastille de ne pas connaître sa partition !
Que la néo-soldatesque pendant le carnage du Bas-Catalan soit restée l'arme au pied, sans intervenir, pour ne pas interrompre les agapes des fichés S et des services, est NORMAL !  C'est une enclave israélienne inviolable le Bataclan, c'est sacré comme une ambassade, une synagogue, c'est là qu’avait lieu un gala annuel pour le bien-être des soldats de Tsahal.
L'armée de l'OTAN, section hexagonale, n'avait pas le droit d'intervenir dans ces territoires occupés  sans déclaration préalable de guerre à Israël.

Et puis c'est pas si grave, il faut bien que jeunesse trépasse, d'ailleurs depuis peu on peut voir des files d'attente devant cette abjecte boucherie cachère et halal.  Mieux encore, c'est un apologiste du Jihad le rappeur Médine qui va venir dans cette nécropole maudite pour faire danser ses frères dans le sang.

Pour nous goyims il n'y aurait qu'une seule solution, saine et raisonnable, face au terrorisme djihado-étatique, celle que Trump a indiqué.



jeudi 1 octobre 2020

OCTOBRE

 Le déconfinement n’aura été qu’une déconfiture de cochons, nullement un retour à la liberté et à la vie. Car la vie est masquée et la liberté surveillée. Quand on s’est perdu à jamais, on ne revient plus à soi, mais dans l’inconscience irréelle, dans les bras maternels de l’État Nounou.

 D’être passé collectivement sous une si létale imposture a sonné le départ d’une humanité terreuse qui déterre ses lendemains en chantant le de profundis.

Le fait d’être tombé sous la coupe de cette géo-politique de terreur sanitaire, ridicule Ô combien, n’étant pas dieu possible, prouve l’existence du Micron.

L’État perd son caractère strictement rationnel de monstre froid, devenant de plus en plus border line, sadique, sournois, Yin. La baisse qualitative anthropologique, perceptible certes dans tous les domaines mais exponentielle dans le politique, correspond aussi à l’hystérisation narcissique, histrionique des nouvelles élites totalement restructurée par l’Ego transcendantal totalitaire féministe. Le fascisme sanitaire, le fascisme de la surprotection matriarcale, politique géototalitaire d’extinction de l’intelligence s’appuie non sur la démesure de l’hybris, destructrice, apocalyptique, du paleo fascisme, mais sur la rage narcissique de la pulsion de mort.
Le pouvoir et ses laquais, flics, toubibs, politicards et journaputes, serviteurs d’une pulsion de mort, ne doit pas être confondue avec la morbidité, avec le goût pour les choses macabres, les jouranaputes et les flics sont des petits jouisseurs narcissiques s’adorant eux même, aimant leur petit confort. La pulsion de mort est ici la tendance qui pousse à aller vers l’entropie, la solidification du monde, le néant métaphysique.
Depuis le temps que nous ingurgitons les sous productions en série FLICS HÔPITAL comment croire que la fourniture la plus standardisée des directives sanitaires soit une pure coïncidence ? Comme n’est pas une coïncidence l’Incendie de Notre-Dame. Pourquoi ont-ils foutu le feu à la grande cathédrale ? À la très svelte flèche qui nous protégeait de la Giga intoxication cérébrale ?

L’OMS avait annoncé une pandémie telle que la grippe espagnole qui a causé plus de quarante de millions de morts en Europe paraîtrait un rhume des foins. Pour lutter contre cette nouvelle Peste Noire, l’Officine Médicale Souveraine a mis au point une politique d’Oppression Mondiale Sanitaire.
Rapidement l’officine et ses valets gouvernementaux ont conclus qu’il fallait lutter contre les hérésies visant à remettre en cause le Dogme pandémique. Ainsi naquit la Sainte Inquisition sanitaire pharmacofasciste qui n’en était pas à son coup d’essai. Elle avait déjà soupesé l’absence de vigueur des Fornicateurs, en les obligeant à se mettre du caoutchouc toxique sur le phallus. Il y eut le SIDA et la capote laïque, démocratique et obligatoire. Aujourd’hui obligation est faite de se mettre la capote sur la figure, ce qui est tout à fait indiqué pour des Têtes de nœuds.

Je fus confiné dans sa villa avec ma Mère très antique, plutôt sourde . Autant dire que par les clameurs entendues le soir dans la Lucarne, dans l’incarne à Sion de la servitude, j’eus des lueurs éclairantes sur l’État présent du mental totalitaire (notez que je ne dis pas « idéologie »).
Les films débiles en lesquels les femmes accomplissent des exploits physiques et intellectuels qui laisseraient pantelants les anciens héros identificatoires de la phase historique précédente, étaient entrecoupés de spots sur le féminicide, où les malheureuses femelles de l’espèce subissaient en tremblant les sévices homicides des mâles. Elles étaient soudain essentiellement victimes, si faibles, si démunies ! Telle était volonté schiappine de lier le con décimé au confinement, avec son cher féminicide : « Confinés, n’en profitez pas pour tuer, ou harceler ! Sinon Gare ! »

Les héroïnes de ces séries où des femelles de compétition accomplissent des exploits surhumains, sont systématiquement des Flics ou des Toubibs. Le Commissariat et l’Hôpital, l’Hôpital et le Commissariat, sans cesse, et depuis si longtemps. C’est ça l’idéologie. Tout était donc là, présent, visible, lisible, prêt à consommer comme un sauté de neurones à la sauce blanche.
La préfiguration de la tyrannie sanitaire : la Fliquette et la Doctoresse, les nouvelles héroïnes identificatoires, en lutte éternelle contre le mâle blanc, serial killer, raciste, sadique, toxique !Les anciens héros ayant été évincés au profit de la Fliquette et de la Chirurgienne ces deux figures du fascisme sanitaire très Yin qui s’est installé sans fard, mais avec masque, avec une facilité déconcertante.
L’actualité rejoint la fiction débile, dans la suprême irréalité.

Pas besoin de l’ex tante à Tonton, comme pour le Onze, pour comprendre l’effroyable imposture. Il suffit de réaliser comment les effets spéciaux des séries, feuilletons et autres navets avaient ôtés toute vraisemblance aux oeuvres cinématographiques depuis si longtemps.
Alors, des avions virtuels, des grippes imaginaires, n’est ce pas....
Ce qui est virtuel est réel, ce qui est réel est virtuel
Tout commença quand on remplaça l’Exploitation de l’Homme par l’Homme par l’Oppression de la Femme par l’Homme.
On a validé ça, cette irrationalité fondatrice de la post-modernité. Tout devint factice. Il n’y a plus de réalité objective mais un consensus général de Représentation.

Nous le savons, du moins je suppose que vous le savez, le système dit capitaliste est entièrement sous perfusion monétaire par injections constantes de liquidités « astronomiques », depuis la crise de 2008 dite des subprimes, qui n’a permis que le sauvetage des banques, mais nullement la relance de l’économie productive.
Tous les calculs financiers pronostiquaient pour 2019 une crise supérieure à celle des subprimes ! Le COVID-19 vint à point pour qui savait attendre !

Les « soignantes », soigneuses, héroïnes soigneusement masquées de l’Arnaque, ont fourni le personnel laborieux pour faire reluire les dernières salles de soins du low cost medical dédié à la racaille cosmopolite qui a tout autant flingué l’hôpital public que la Bachelot et la Touraine réunies.

Les riches ont transformé les léproseries et grands Hôtels-Dieu, en lieux de réception, de défilés de mode, d’étalage partouzard, avant les départs en hélico vers les îles où se déflorent les jolies mannequins de 13 ans.
Les riches ont droit à l’hydroxychoroquine, efficace et pas chère.
Les pauvres devront, sous peine de survie, se faire injecter la thanatoxine, super onéreuse, létale et fatale.
Les riches ont masqué leur objectif de dépersonnalisation totalitaire.
Les pauvres masquent leurs pensées similaires sous leurs têtes analogues.
Le « peuple » n’est pas l’autre terme opposable à l’oligarchie, celle ci pousse sur lui comme sa tumeur, le tuera certes, mais elle crèvera avec lui.... faut laisser faire et c’est très bien.

Hervé Ryssen jeté dans une cellule puante de Fleury-Mérogis comme cadeau pour Roch Hachana, voilà un présent de choix ! Ce que madame Annie Kriegel nommait en 1990 « l’Insupportable Police Juive de la Pensée » est devenu tellement effectif que la violence de cette effectivité d’aucuns vont la relier au bolchevisme. Aux dernières nouvelles Hervé Ryssen serait détenu dans les caves de la Loubianka, entre les mains rouges de la GPU.
Alors qu’il n’y a plus un centimètre carré de soviétisme sur la terre, ni la plus infime trace de sa tombe, son apparition spectrale, comme la seconde vague menaçante du Covid, aura l’effet cathartique attendu, d’extraire Ryssen des geôles du capital, avec télévision, pour le précipiter dans les cachots du bolchevisme, avec rats. Pourtant le pire supplice pour Hervé, n’est il pas d’être condamné à la télévision comme unique ouverture de son enfermement ?
Le précipiter intellectuellement dans une prison imaginaire rend-il plus imaginable qu’il obtienne un soutien plus large de tous les amants de la « liberté d’expression » ?

La liberté d’expression ! étant moi même contre,  j'ai besoin de la posséder pour le dire !  C'est donc un véritable rapport amoureux. 

Ô combien loin étiez-vous, capitaines des vaisseaux anciens, de nous offrir ne serait-ce qu’une parcelle de bon tabac à priser, une chique pour supporter les bourrasques et les vents contraires. Aujourd’hui à la barre des sous-dissidents de la mer, vous naviguez à vue, sur vos frégates en partance pour la Chine, entre les récifs imaginaires de contes à dormir debout : une Histoire pour les Tout-petits racontée par la mamie du kibboutz et le Capitalisme au viagra du papy d’Elf aquitaine.
Voyez-les, ces Nochers vernaculaires, agiter leurs hochets, les couches lourdes, dans leurs parcs à idéals, on leur a peint des châteaux forts, avec le Bon Tzar, le méchant bolchevique et les bonnes valeurs bien pleines, toutes ces vieilleries gonflées et rances, tellement obsolètes !

Vous avez pris la plus crasseuse réaction pour la révolution, Louis Philippe pour Robespierre ! Tu as raison monsieur Prudhomme avec ton Proudhon, il faut remplacer la vieille lutte des classes par les Métiers. Par exemple le Métier du Cul, qui réunit en un seul faisceau, le petit russe découpé à la scie, le scieur et Ben producteur qui vend un million chaque video. L’économie ce gros mot, les connauds-mis, soit la reproduction du capital à l’échelle de « c’te planète », est bien davantage réalisée par les vidéos de sévices sur des enfants, que par la recherche « scientifique » !

Elle est revenue ! – quoi ?
« La multitude vile » ! Elle ne compte plus tant elle se compte, se chiffre, se dénombre, se démonétise de par sa démonie. Le Prolétariat remplacé, laisse place nette à la populace, grouillante, croyante.
Le Prolétariat remplacé devint le Nombre, la Grande-Bourgeoisie la bande de milliardaires, les Français les françaises des jeux, les Ancêtres les vieux cons à barbes blanches, les jeunes des djeunes à barbes noires... La France, sa Géographie, si belle, et si repue d’histoire, n’est plus que dans l’Esprit.
Il est tard, j’ouvre Balzac, ou Pascal, mon feu pétille dans l’âtre, je suis chez moi ; il n’y a plus personne.

Dans ma prison domiciliaire, avec mon antique génitrice nous regardions un Jeu. « Question pour un Gros con » , je crois. Brillantissimes de culture générale, sports, cinéma, vedettes, animateurs d’émission, écrivaines..., les types savaient tout ! Moi rien. Soudain jaillit La Fontaine, cette source. Là, ils n’ont pas su. Ils sont restés hébétés, les yeux ronds, la mâchoire pendante, ils n’avaient pas bu de la Fontaine dans le creux de la main.


IBARA , L'INSPIRE


 

Ou pourra lire, ou relire pour les Anciens, ceci qui ne nous rajeunit pas. 



MASQUES = CANCER