Pardonnez moi, si j'ai laissé encore tomber le Bloc sur mes pieds fourchus, parce que je suis un peu dans un nouvel ouvrage; et puis pour m'alléger, comme après l'orage l'air, et partir enfin dans le vent, le cœur moins lourd, sur ma vieille Bonneville.
Un dernier billet encore très spirituel, que vos pieds ailés plus que fourchus vous portent bien.
RépondreSupprimerMerci Dame Orfeenixe, et que vous preniez les vôtres dans les liens sacrés !
RépondreSupprimerpartir en vacance triomphalement avec sa bonne ville sans pompe saperlipopette c'est pas le pied ! partir en vacance triomphalement en quittant sa bonne ville sans pompe saperlipopette !!
RépondreSupprimermerci mes Zix et Orfeenig !
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