Cessation d'activité pour le blog début août, l'Abbé, Philistine et votre serviteur prenons de courtes vacances, de conserve mais pas de compagnie, qui au mont Athos, qui à la Flaque, qui à l'Océan....
Je m'associe à scarabée pour souhaiter bonnes vacances à l'abbé, qui sur la Sainte Montagne, qui à la Flaque, qui à l'Océan... Bonnes vacances à tous. A bientôt. Lili
A tous, .../ le bonheur m'a prêté plus d'un lien fragile, Mais c'est l'adversité qui m'a fait un ami. .......
Mais du moins j'aurai pu, frère quoi qu'il m'arrive, De mon cachet de deuil sceller notre amitié, Et, que demain je meure ou que demain je vive, Pendant que mon coeur bat, t'en donner la moitié. A. de Musset
En effet, c' est du joli Musset, merci LIli! Mais qu' est ce que vous avez à tous vous en aller en ce moment, moi je refuse de profiter des congés payés ( en fait je n' ai pas le choix)et puisque c' est comme ça, je boude.
Chère Orfeenix, je vous croyais aussi en vacances. Ne boudez pas, je n'y suis pas non plus. Ayant la chance d'habiter dans une région tempérée à égale distance de la mer et de la montagne, j'aménage des allées et venues en week end prolongés. Les lieux oubliés ont ma préférence. Retomber dans le syndrome de la migration pendulaire pendant les vacance, non merci ! lili
Lettre à ‘l’Abbé Tymon Nous, les fideles visiteurs de votre abbaye, rendons hommage avec ferveur et respect à votre noble sainteté. L’auréole qui ceint votre tête, nous manque et n’éclaire plus nos âmes de sa lumière, ô, combien douce et revigorante. Nous vous souhaitons des vacances paisibles loin de ces deux trublions qui sont Félix le chat avec ses airs de magistrat qui, du haut de sa chaire, prend un malin plaisir à tancer le public de son tribunal. Et Philistine stringulat qui a osé changer sa cornette contre un string et depuis, se promène la tête nue et un string sous la robe. Pour comble d’infortune, c’est qu’elle croit que personne ne le sait, alors que nous le savons tous et faisons semblant de ne pas le savoir. Reposez-vous bien et soyez discret sur que nous venions de vous révéler au sujet de deux trublions qui sont vos serviteurs. Nous les aimons bien, et nous n’aimerions pas qu’ils se prennent la tête contre nous. Sinon, adieu les visites et adieu les petits privilèges qu’ils nous accordent lors de nos visites à votre Abbaye. Le scarabée et le reste des visiteurs fideles.
Je vous renvois votre question : Et vous ! Pourquoi avez-vous abandonné votre blog Orfeenix qui s’ouvre par un poème de Paul Éluard que j’apprécie beaucoup ? Enfin, c’est une question taquine. En abrégé : 1) je ne veux pas renouer avec mon passé, non pas parce que j’ai des choses à cacher mais parce que j’ai changé brusquement sans le vouloir 2) J’ai coupé toute communication avec les gens de mon passé, à part mes proches et je ne suis pas prêt à mettre fin à ça. 3) J’ai beaucoup de projets personnels en chantier que j’ai abandonné et que je dois reprendre. Et des questions auxquelles je dois trouver des réponses, ou du moins des pistes. Exemple : pourquoi notre esprit se laisse tromper facilement par les inventions modernes et quelles peuvent être les conséquences sur lui ? Il écoute de la musique réduite de 75% et plus de ses sons, et continue à la considérer comme de la musique, il voit une séquence de 18 à 30 images par seconde et il la prend pour un mouvement d’une seconde, alors que tout mouvement réel est décomposable en une infinité d’images. Pourquoi tant que j’ai souvenir de ce que j’ai écrit, je ne peux pas le corriger parce que je le lis dans ma tête et je le trouve correct. Ce n’est qu’après l’avoir oublié, au moins en partie, que je peux le corriger. Je sais qu’il y a beaucoup de réponses à ses questions mais elles ne me satisfont pas. Je crois avoir répondu à votre question chère sœur ennemi, car je préfère avoir des ennemis comme vous que des amis. le scarabée
Ton blog pourrais s'intituler "le partage de mes questions". Ce serais fort intéressant de pouvoir contribuer à ces réflexions.
Attention!: "Réfléchir, c'est se poser des questions à soi même". Et de toute évidence, il est peu aisé de sortir de ce tourbillon seul, sauf grave incident (grosse bousculade).
Chère Orfeenix, cher Scarabée, c'est moi qui suis confuse, Scarabée a su parfaitement avec force détails répondre à votre question, alors que moi je n'ai laissé que sous entendre un Non, toutes explications me paraissant superflues.
Soyez rassurés, je ne m'apparente pas à Paul Eluard, il me reste encore un peu de raison (rire) si peu... et mon piètre poème à l'attention de Scarabée, bien sincère, juste des pensées "jetées au vent" comme dirait esprit-i- monde.
Pardonnez moi Scarabée d'être si laborieuse ce matin (nuit blanche, enfin... noire !) et de m'être si piteusement "emmêlée les pinceaux."
Orfeenix, je n'ai pas eu le privilège de lire votre poème d'ouverture sur ce blog auquel Scarabée fait allusion. Dommage ! lili
l'esprit véritable est tel la nature des nuages, libre, et créatif. Le reste ne sont que chaines et prisons sociales, idéolochiques... paquets de "formats" de faux conforts.
À Lili La confusion est parfois bonne, elle ne fait sortir des sentiers battus et de certains conformismes. Merci pour votre poème et je me préparais à vous rendre la pareille, mais faute de temps… je ne l’ai pas fait. Ça viendra au temps voulu. A esprit-i-monde Vous avez raison!!! Comme toujours. le scarabée. i
Lili,vous avez toute ma bienveillance inconditionnelle, le virtuel est source de quiproquos,je suis bien placée pour le savoir et vos réponses me conviennent forcément puisque ce sont les vôtres! Scarabée,vos motifs sont tout à fait respectables mais ne pensez surtout pas que je suis votre ennemie, les mots sur la toile sont souvent trompeurs, on croit faire de l' humour mais le sourire que l' on affiche avec le com n' apparaît pas , on privilégie parfois la concision, on évite de surcharger le billet, et on peut sembler laconique, froid et distant. Si je vous demandais à tous les deux votre blog , c' était pour le plaisir de mieux vous connaître et de discuter avec vous sur votre site parce que je vous apprécie.
Chère Orfeenix, je vous apprécie beaucoup et je sais que vous êtes une bonne personne, car mon cœur m’a rarement trompé. Mais il arrive que la vie nous malmène tellement qu’on essaye de compenser cela par des foutaises et autres galimatias. J’avoue que j’ai fait de vous mon bouc-émissaire et mon ennemi imaginaire parce que je pensais que vous pouviez encaisser les coups comme dans la vraie vie et comme vous écrits le prouvent, même si ce n’est qu’en partie. Si je vous vouvoie, mais en moi, je vous tutoie comme c’est les cas de beaucoup de personnes ici que je ne nommerai pas et qui se reconnaitront, parce qu’on est dans un espace publique et non intime ou privée comme cela peut tromper certains. Nos subtilités sont légitimes mais il ne faut pas leur accorder plus d’importance qu’elles ne vaillent. Dernièrement, j’ai dit à esprit-i-monde : « comme toujours, vous avez raison » pour lui dire que je vous apprécie et partage beaucoup de vos remarques, de vos jeux de mots non dénudés de sens… tout en pensant que personne ne peut avoir raison tout le temps et sur tout. Mais il a compris autre chose, qu’importe !, il était seulement dans un autre état d’esprit. Mes amitiés à tous.
Lire:"pour lui dire que je l'apprécie... de ses remarques, de ses mots..." et non: "pour lui dire que je vous apprécie... de vos remarques, de vos mots...". Le scarabée
@ Orfeenix. Non, je ne le ferai plus, je sais que vous avez vos peines et vos problèmes comme tout le monde. Je m’amuserai peut-être à vous apporter la contradiction dans un but constructif, et uniquement. Car on ne rend pas service à ceux qu’on flatte dans le sens du poil, on ne fait que les enfoncer dans leurs faiblesses plutôt. Les paroles sont comme les médications, ils sont à la fois poison et remède. Tout dépend de la posologie. Je veillerai sur la bonne posologie, promis. Le scarabée
Chère Orfeenix, pour tenir un blog, il faut une certaine rigueur, beaucoup de connaissances, (ce que je n'ai pas) une grande disponibilité, (que je n'ai pas non plus) l'esprit de suite et un minimum d'honnêteté, pas de problème sur ces derniers points mais serait-ce suffisant ? Il n'est guère aisé d'écrire avec sagesse ou colère, finesse, courtoisie et respect à des personnes que l'on ne connaît pas ou si peu, même si au fil des mots et du style on arrive à percevoir une infime partie, de la personnalité voire de la sensibilité de la personne qui écrit. Pour peu qu'il y ait suffisamment de sincérité dans les propos échangés. Sensibilité et non sensiblerie de ces parcs d'attraction que la société appelle culture.
Dans l'agitation de nos vies pouvoir écrire ou lire ne serait-ce qu'un seul mot , amour, paix, pardon, santé, courage, espoir, est déjà beaucoup. Autrefois une lettre mettait beaucoup de temps pour parvenir à son destinataire, cependant le lecteur était toujours en phase avec la personne qui écrivait; l'attente et l'espérance étaient une joie, une joie et une souffrance car les personnes étaient souvent en symbiose presque osmose car il y avait entre les deux une conformité d'idées et de goûts exigeant une réciprocité. Le fatum y est aussi pour beaucoup. Aujourd'hui la communication est instantanée et les questions réponses qui arrivent à la vitesse de la lumière peuvent être parfois mal interprétées, mal perçues, nous effrayer voire nous blesser. Il n'y a aucune occasion ou le ton brusque conviennent à l'homme et il n'est pas facile parfois de garder la juste mesure acceptable devant les événements qui nous offusquent.
Si le clavier a remplacé la plume et l'écran le papier, écrire avec ses mains, lire avec ses yeux, écouter les mots avec ses oreilles, seraient inutiles sans élan de spontanéité et de sincérité, en un mot de coeur. Tout dépend aussi de son état d'esprit au moment ou l'on écrit. Du moment et du lieu, les lieux sont importants, on 'écrit pas de la même façon au bureau que devant un paysage, l'heure et la lumière aussi sont importantes. Voyez Le Lac de Lamartine en référence au temps (sur l'océan des âges...) J'écris souvent au crépuscule ou après minuit sans "griserie de vérités pernicieuses" (Cioran)
Comme Scarabée, je n'ai rien à cacher, ne me suis-je pas déjà ici mise a nu ? Même à la hâte ou en souffrance et tant que mon esprit me le permet j'essaye autant que faire ce peut de ne pas écrire des mots que je n'ai pas pesés. Enfin et pour finir, puisque l'Abbé m'a fait la grâce de m'accueillir avec tant de bienveillance, vous aussi, le Scarabée et Esprit-i-monde, que puis-je désirer de plus.
" J'ai plaisir a lire les articles de l'Abbé Quimonte. Il me cite parfois, ce qui me flatte car ses connaissances semblent infinies et on se comprend; latinistes tous deux, (comme vous aussi) il a poursuivi le grec que j'ai assez vite arrêté. Ce n'est pas de la cuistrerie de sa part, il ne va pas chercher dans le dico croyez moi, et ses horions sont spontanés et écrits d'un seul jet d'encre. Sur des blogs ou je suis allé assez rarement, des articles de presse je ne trouve jamais cette richesse de vocabulaire quand ce n'est pas une bourriche de coquilles ." Réponse de Tonkin sur l'un de nos échanges à propos de certains articles avec l'Abbé. Auquel je rajoute un style direct qui n'appartient qu'à lui.
Tout est dit chère Orfeenix . Une fois. (petit clin d'oeil à esprit i-monde) J'espère avoir répondu à votre question, pardonnez ma longueur. Bien à vous lili
Pour ma part... Je me rappelle quand dans ma prime enfance et sortant dans la rue les première fois (vaste les rues de cette époque sans voiture), je croyais évident de saluer d'un bonjour tout qui s'apparentait à un humain; éprouvant de la déception déjà quand je faisais le constat du non retour. Je me sentais déjà étranger à ce monde, la vil... Rien n'a changé pour moi hélas, sauf les décors en carton.
ps: Je préfère souvent ne pas trop réfléchir à mes propos au risque d'attraper un style, comme une crampe et laisser une place à ma propre surprise.
Très jolie missive, Lili, qui vaut largement une lettre de papier écrite à la plume. Nocif, vous faites partie de la famille, on ne va pas mettre systématiquement " lu et approuvé", je ne suis pas qu' une fonctionnaire!
@esprit-i-immonde. Cette fois-ci, vous devrez accepter mes remerciements directs et non en « comme toujours, vous avez raison. » J’ai ri vraiment un bon coup en vous lisant. Ça m’a déridé la rate, ce qui ne m’était pas arrivé depuis fort longtemps. Oui, il y a quelque chose de tragique et de comique au même temps, dans vos propos, le vrai comique est toujours la face cachée du tragique. Le scarabée.
Esprit -i-monde, j'écris et je réfléchis après, ce qui m'étonne souvent et m'attire parfois des déceptions et des désagréments . Comme vous je laisse la place à ma propre surprise. lili
Surtout, n'y voyez pas de l'animosité à votre encontre de ma part!..
"Mes très chers, trop chers!.. Ce qui m'insupporte le plus en cet en cet instant... c'est d'avoir une Renault quasi neuve dont l'abs est capable de m'envoyer dans le décors à tout instant. En effet au lieu d'aller tout droit, le coeur léger, cette merveille de la science à tendance à faire tourner ma voiture comme une toupie lorsque je freine... Un peu comme la voiture de Lady Di, mais sans paparazzi et sans devoir appuyer sur la télécommande de l'agent du M6.
Quand à Renault, ils ne comprennent pas, jamais!.., ce phénomène qui gagne l'ensemble de leurs véhicules depuis qu'ils délocalisent? Payer son personnel avec des bols de riz ne convient pas à la haute technologie dirais-je en soupirant devant un platane".
Je vient à l'instant, d'apprendre que Renault finançait la suppression des platanes dans ma région, suite à mon coup de fil plaintif???
Lili, Scarabée et autres embouts de pipette de pneu de camion Magirus que moi; n'oublions pas que cette vie n'est pas sérieuse; juste un mauvais rêve avec lequel il vaut mieux danser.
je me rend compte, que la politique envahit absolument tous les domaines de la vie, matin au soir, y compris les tirades des humoristes; ne laissant plus de place à la légèreté de l'être, humain... (rien à voir avec Culdesrats) Ils nous transforment en calculette, en gestionnaire d'agenda... D'où mon indigestion.
En effet Scarabée, la vie est une comédie, le dernier acte est sanglant, quelque belle que soit la comédie et tout le reste; on jette enfin de la terre et en voilà pour jamais" lili
L'erreur est de vouloir absolument se fixer ici bas... d'ailleurs les publicistes ont très bien compris le principe et Larousse aussi, si remplis d'inconnus.
Les commentaires, qui sont libres, n'engagent que leurs auteurs. En aucun cas "Le petit Quimonte illustré" ne saurait être tenu pour responsable de leur teneur.
Bonnes vacances à tout le monde, et surtout à l’abbé pour toutes les confessions qu’il subit tout le long de l’année. Le scarabée.
RépondreSupprimerJe m'associe à scarabée pour souhaiter bonnes vacances à l'abbé, qui sur la Sainte Montagne, qui à la Flaque, qui à l'Océan...
RépondreSupprimerBonnes vacances à tous.
A bientôt.
Lili
A tous,
RépondreSupprimer.../
le bonheur m'a prêté plus d'un lien fragile,
Mais c'est l'adversité qui m'a fait un ami.
.......
Mais du moins j'aurai pu, frère quoi qu'il m'arrive,
De mon cachet de deuil sceller notre amitié,
Et, que demain je meure ou que demain je vive,
Pendant que mon coeur bat, t'en donner la moitié.
A. de Musset
Bonnes vacances
lili
En effet, c' est du joli Musset, merci LIli!
RépondreSupprimerMais qu' est ce que vous avez à tous vous en aller en ce moment, moi je refuse de profiter des congés payés ( en fait je n' ai pas le choix)et puisque c' est comme ça, je boude.
Chère Orfeenix, je vous croyais aussi en vacances. Ne boudez pas, je n'y suis pas non plus.
RépondreSupprimerAyant la chance d'habiter dans une région tempérée à égale distance de la mer et de la montagne, j'aménage des allées et venues en week end prolongés. Les lieux oubliés ont ma préférence.
Retomber dans le syndrome de la migration pendulaire pendant les vacance, non merci !
lili
s à vacances, excusez moi.
RépondreSupprimerLettre à ‘l’Abbé Tymon
RépondreSupprimerNous, les fideles visiteurs de votre abbaye, rendons hommage avec ferveur et respect à votre noble sainteté. L’auréole qui ceint votre tête, nous manque et n’éclaire plus nos âmes de sa lumière, ô, combien douce et revigorante. Nous vous souhaitons des vacances paisibles loin de ces deux trublions qui sont Félix le chat avec ses airs de magistrat qui, du haut de sa chaire, prend un malin plaisir à tancer le public de son tribunal. Et Philistine stringulat qui a osé changer sa cornette contre un string et depuis, se promène la tête nue et un string sous la robe. Pour comble d’infortune, c’est qu’elle croit que personne ne le sait, alors que nous le savons tous et faisons semblant de ne pas le savoir.
Reposez-vous bien et soyez discret sur que nous venions de vous révéler au sujet de deux trublions qui sont vos serviteurs. Nous les aimons bien, et nous n’aimerions pas qu’ils se prennent la tête contre nous. Sinon, adieu les visites et adieu les petits privilèges qu’ils nous accordent lors de nos visites à votre Abbaye.
Le scarabée et le reste des visiteurs fideles.
Chers Lili et Scarabée pourquoi ne tiendriez vous pas un blog?
RépondreSupprimerOui, pourquoi (?).. en tenir un !
RépondreSupprimerScarabée c'est différent,
Il a tant de choses à dire,
Et il les dit si joliment,
Un bonheur de le lire.
Bien à vous chère Orffenix.
lili
Je vous renvois votre question : Et vous ! Pourquoi avez-vous abandonné votre blog Orfeenix qui s’ouvre par un poème de Paul Éluard que j’apprécie beaucoup ? Enfin, c’est une question taquine. En abrégé : 1) je ne veux pas renouer avec mon passé, non pas parce que j’ai des choses à cacher mais parce que j’ai changé brusquement sans le vouloir 2) J’ai coupé toute communication avec les gens de mon passé, à part mes proches et je ne suis pas prêt à mettre fin à ça. 3) J’ai beaucoup de projets personnels en chantier que j’ai abandonné et que je dois reprendre. Et des questions auxquelles je dois trouver des réponses, ou du moins des pistes. Exemple : pourquoi notre esprit se laisse tromper facilement par les inventions modernes et quelles peuvent être les conséquences sur lui ? Il écoute de la musique réduite de 75% et plus de ses sons, et continue à la considérer comme de la musique, il voit une séquence de 18 à 30 images par seconde et il la prend pour un mouvement d’une seconde, alors que tout mouvement réel est décomposable en une infinité d’images. Pourquoi tant que j’ai souvenir de ce que j’ai écrit, je ne peux pas le corriger parce que je le lis dans ma tête et je le trouve correct. Ce n’est qu’après l’avoir oublié, au moins en partie, que je peux le corriger. Je sais qu’il y a beaucoup de réponses à ses questions mais elles ne me satisfont pas.
RépondreSupprimerJe crois avoir répondu à votre question chère sœur ennemi, car je préfère avoir des ennemis comme vous que des amis.
le scarabée
Corriger : un poème de Paul Éluard par une référence à un poème de Paul Éluard.
RépondreSupprimerLe scarabée
Cher Scarabée,
RépondreSupprimerJe me demande s'il n'y a pas encore confusion en lisant votre réponse a Orfeenix.
Après pourquoi (? ).. en tenir un ! (blog) j'aurai du rajouter : En ce qui me concerne
Et aussi être plus précise dans mon petit poème à votre intention.
Pour Scarabée c'est différent,
Il a tant de chose à dire,
Et il les dit si joliment,
Que c'est un vrai plaisir de le lire.
Je ne pensais, ni ne faisais référence à Paul Eluard, ça m'est venu comme ça ??? Parceque je le pense.
Bien à vous cher Scarabée
lili
De Paul Eluard, en cet instant, ma mémoire encore embrumée me dit ceci:
"Il nous faut peux de mots pour exprimer ce que l'on pense
Il nous faut tous les mots pour le rendre réel"
Paul Eluard
Ma réponse du 4 août : 16h 26 s'adressait à Orfeenix.
RépondreSupprimerEt à vous indirectement par mon petit poème.
Suis-je "si maladroite? "
lili
Et bien cher Scarabée,
RépondreSupprimerTon blog pourrais s'intituler "le partage de mes questions".
Ce serais fort intéressant de pouvoir contribuer
à ces réflexions.
Attention!: "Réfléchir, c'est se poser des questions à soi même".
Et de toute évidence, il est peu aisé de sortir de ce tourbillon seul, sauf grave incident (grosse bousculade).
Le bien en toi.
Chère Orfeenix, cher Scarabée, c'est moi qui suis confuse, Scarabée a su parfaitement avec force détails répondre à votre question, alors que moi je n'ai laissé que sous entendre un Non, toutes explications me paraissant superflues.
RépondreSupprimerSoyez rassurés, je ne m'apparente pas à Paul Eluard, il me reste encore un peu de raison (rire) si peu... et mon piètre poème à l'attention de Scarabée, bien sincère, juste des pensées "jetées au vent" comme dirait esprit-i- monde.
Pardonnez moi Scarabée d'être si laborieuse ce matin (nuit blanche, enfin... noire !) et de m'être si piteusement "emmêlée les pinceaux."
Orfeenix, je n'ai pas eu le privilège de lire votre poème d'ouverture sur ce blog auquel Scarabée fait allusion. Dommage !
lili
Scarabée,
RépondreSupprimerl'esprit véritable est tel la nature des nuages, libre, et créatif.
Le reste ne sont que chaines et prisons sociales, idéolochiques... paquets de "formats" de faux conforts.
Ceci va peut-être vous faire sourire:
RépondreSupprimerEn regardant des yeux, je me demande comment le monde entier arrive à y entrer par de si petites pupilles?
À Lili
RépondreSupprimerLa confusion est parfois bonne, elle ne fait sortir des sentiers battus et de certains conformismes. Merci pour votre poème et je me préparais à vous rendre la pareille, mais faute de temps… je ne l’ai pas fait. Ça viendra au temps voulu.
A esprit-i-monde
Vous avez raison!!! Comme toujours. le scarabée.
i
Cher scarabée,
RépondreSupprimerJe ne cherche pas à avoir raison. je cherche de la meilleurs nourriture... comme nous.
""Et tente de rattraper les bêtes issues de mon palais."
Lili,vous avez toute ma bienveillance inconditionnelle, le virtuel est source de quiproquos,je suis bien placée pour le savoir et vos réponses me conviennent forcément puisque ce sont les vôtres!
RépondreSupprimerScarabée,vos motifs sont tout à fait respectables mais ne pensez surtout pas que je suis votre ennemie, les mots sur la toile sont souvent trompeurs, on croit faire de l' humour mais le sourire que l' on affiche avec le com n' apparaît pas , on privilégie parfois la concision, on évite de surcharger le billet, et on peut sembler laconique, froid et distant. Si je vous demandais à tous les deux votre blog , c' était pour le plaisir de mieux vous connaître et de discuter avec vous sur votre site parce que je vous apprécie.
Il faut se méfier des mots et des faits : les mots trahissent les faits et les faits, comme les mots, ne sont pas les mêmes pour tous.
RépondreSupprimerBourvil, Les Bonnes Causes (1962), écrit par Henri Jeanson
Chère Orfeenix, je vous apprécie beaucoup et je sais que vous êtes une bonne personne, car mon cœur m’a rarement trompé. Mais il arrive que la vie nous malmène tellement qu’on essaye de compenser cela par des foutaises et autres galimatias. J’avoue que j’ai fait de vous mon bouc-émissaire et mon ennemi imaginaire parce que je pensais que vous pouviez encaisser les coups comme dans la vraie vie et comme vous écrits le prouvent, même si ce n’est qu’en partie. Si je vous vouvoie, mais en moi, je vous tutoie comme c’est les cas de beaucoup de personnes ici que je ne nommerai pas et qui se reconnaitront, parce qu’on est dans un espace publique et non intime ou privée comme cela peut tromper certains. Nos subtilités sont légitimes mais il ne faut pas leur accorder plus d’importance qu’elles ne vaillent. Dernièrement, j’ai dit à esprit-i-monde : « comme toujours, vous avez raison » pour lui dire que je vous apprécie et partage beaucoup de vos remarques, de vos jeux de mots non dénudés de sens… tout en pensant que personne ne peut avoir raison tout le temps et sur tout. Mais il a compris autre chose, qu’importe !, il était seulement dans un autre état d’esprit. Mes amitiés à tous.
RépondreSupprimerLire:"pour lui dire que je l'apprécie... de ses remarques, de ses mots..." et non: "pour lui dire que je vous apprécie... de vos remarques, de vos mots...". Le scarabée
RépondreSupprimerBon d' accord, mais pas trop fort s' il vous plaît :)
RépondreSupprimer@ Orfeenix.
RépondreSupprimerNon, je ne le ferai plus, je sais que vous avez vos peines et vos problèmes comme tout le monde. Je m’amuserai peut-être à vous apporter la contradiction dans un but constructif, et uniquement. Car on ne rend pas service à ceux qu’on flatte dans le sens du poil, on ne fait que les enfoncer dans leurs faiblesses plutôt. Les paroles sont comme les médications, ils sont à la fois poison et remède. Tout dépend de la posologie. Je veillerai sur la bonne posologie, promis.
Le scarabée
Chère Orfeenix, pour tenir un blog, il faut une certaine rigueur, beaucoup de connaissances, (ce que je n'ai pas) une grande disponibilité, (que je n'ai pas non plus) l'esprit de suite et un minimum d'honnêteté, pas de problème sur ces derniers points mais serait-ce suffisant ?
RépondreSupprimerIl n'est guère aisé d'écrire avec sagesse ou colère, finesse, courtoisie et respect à des personnes que l'on ne connaît pas ou si peu, même si au fil des mots et du style on arrive à percevoir une infime partie, de la personnalité voire de la sensibilité de la personne qui écrit. Pour peu qu'il y ait suffisamment de sincérité dans les propos échangés. Sensibilité et non sensiblerie de ces parcs d'attraction que la société appelle culture.
Dans l'agitation de nos vies pouvoir écrire ou lire ne serait-ce qu'un seul mot , amour, paix, pardon, santé, courage, espoir, est déjà beaucoup. Autrefois une lettre mettait beaucoup de temps pour parvenir à son destinataire, cependant le lecteur était toujours en phase avec la personne qui écrivait; l'attente et l'espérance étaient une joie, une joie et une souffrance car les personnes étaient souvent en symbiose presque osmose car il y avait entre les deux une conformité d'idées et de goûts exigeant une réciprocité. Le fatum y est aussi pour beaucoup. Aujourd'hui la communication est instantanée et les questions réponses qui arrivent à la vitesse de la lumière peuvent être parfois mal interprétées, mal perçues, nous effrayer voire nous blesser. Il n'y a aucune occasion ou le ton brusque conviennent à l'homme et il n'est pas facile parfois de garder la juste mesure acceptable devant les événements qui nous offusquent.
Si le clavier a remplacé la plume et l'écran le papier, écrire avec ses mains, lire avec ses yeux, écouter les mots avec ses oreilles, seraient inutiles sans élan de spontanéité et de sincérité, en un mot de coeur. Tout dépend aussi de son état d'esprit au moment ou l'on écrit. Du moment et du lieu, les lieux sont importants, on 'écrit pas de la même façon au bureau que devant un paysage, l'heure et la lumière aussi sont importantes. Voyez Le Lac de Lamartine en référence au temps (sur l'océan des âges...) J'écris souvent au crépuscule ou après minuit sans "griserie de vérités pernicieuses" (Cioran)
Comme Scarabée, je n'ai rien à cacher, ne me suis-je pas déjà ici mise a nu ? Même à la hâte ou en souffrance et tant que mon esprit me le permet j'essaye autant que faire ce peut de ne pas écrire des mots que je n'ai pas pesés.
Enfin et pour finir, puisque l'Abbé m'a fait la grâce de m'accueillir avec tant de bienveillance, vous aussi, le Scarabée et Esprit-i-monde, que puis-je désirer de plus.
" J'ai plaisir a lire les articles de l'Abbé Quimonte. Il me cite parfois, ce qui me flatte car ses connaissances semblent infinies et on se comprend; latinistes tous deux, (comme vous aussi) il a poursuivi le grec que j'ai assez vite arrêté. Ce n'est pas de la cuistrerie de sa part, il ne va pas chercher dans le dico croyez moi, et ses horions sont spontanés et écrits d'un seul jet d'encre. Sur des blogs ou je suis allé assez rarement, des articles de presse je ne trouve jamais cette richesse de vocabulaire quand ce n'est pas une bourriche de coquilles ."
Réponse de Tonkin sur l'un de nos échanges à propos de certains articles avec l'Abbé. Auquel je rajoute un style direct qui n'appartient qu'à lui.
Tout est dit chère Orfeenix . Une fois. (petit clin d'oeil à esprit i-monde)
J'espère avoir répondu à votre question, pardonnez ma longueur.
Bien à vous
lili
Pour ma part...
RépondreSupprimerJe me rappelle quand dans ma prime enfance et sortant dans la rue les première fois (vaste les rues de cette époque sans voiture), je croyais évident de saluer d'un bonjour tout qui s'apparentait à un humain; éprouvant de la déception déjà quand je faisais le constat du non retour.
Je me sentais déjà étranger à ce monde, la vil... Rien n'a changé pour moi hélas, sauf les décors en carton.
ps: Je préfère souvent ne pas trop réfléchir à mes propos au risque d'attraper un style, comme une crampe et laisser une place à ma propre surprise.
"Rien n'a changer" à mes yeux.
RépondreSupprimerTrès jolie missive, Lili, qui vaut largement une lettre de papier écrite à la plume.
RépondreSupprimerNocif, vous faites partie de la famille, on ne va pas mettre systématiquement " lu et approuvé", je ne suis pas qu' une fonctionnaire!
@esprit-i-immonde.
RépondreSupprimerCette fois-ci, vous devrez accepter mes remerciements directs et non en « comme toujours, vous avez raison. » J’ai ri vraiment un bon coup en vous lisant. Ça m’a déridé la rate, ce qui ne m’était pas arrivé depuis fort longtemps. Oui, il y a quelque chose de tragique et de comique au même temps, dans vos propos, le vrai comique est toujours la face cachée du tragique. Le scarabée.
Merci Orfeenix, mais à la plume j'aurai peut-être fait plus bref afin d'éviter justement, la crampe dont parle Esprit-i-monde.
RépondreSupprimerlili
Esprit -i-monde, j'écris et je réfléchis après, ce qui m'étonne souvent et m'attire parfois des déceptions et des désagréments .
RépondreSupprimerComme vous je laisse la place à ma propre surprise.
lili
Surtout, n'y voyez pas de l'animosité à votre encontre de ma part!..
RépondreSupprimer"Mes très chers, trop chers!..
Ce qui m'insupporte le plus en cet en cet instant... c'est d'avoir une Renault quasi neuve dont l'abs est capable de m'envoyer dans le décors à tout instant. En effet au lieu d'aller tout droit, le coeur léger, cette merveille de la science à tendance à faire tourner ma voiture comme une toupie lorsque je freine... Un peu comme la voiture de Lady Di, mais sans paparazzi et sans devoir appuyer sur la télécommande de l'agent du M6.
Quand à Renault, ils ne comprennent pas, jamais!.., ce phénomène qui gagne l'ensemble de leurs véhicules depuis qu'ils délocalisent?
Payer son personnel avec des bols de riz ne convient pas à la haute technologie dirais-je en soupirant devant un platane".
Je vient à l'instant, d'apprendre que Renault finançait la suppression des platanes dans ma région, suite à mon coup de fil plaintif???
Lili, Scarabée et autres embouts de pipette de pneu de camion Magirus que moi; n'oublions pas que cette vie n'est pas sérieuse; juste un mauvais rêve avec lequel il vaut mieux danser.
RépondreSupprimerje me rend compte, que la politique envahit absolument tous les domaines de la vie, matin au soir, y compris les tirades des humoristes; ne laissant plus de place à la légèreté de l'être, humain... (rien à voir avec Culdesrats)
RépondreSupprimerIls nous transforment en calculette, en gestionnaire d'agenda... D'où mon indigestion.
Esprit-i-monde Pour éviter tous ces désagréments auto-matiques je ne saurai assez vous conseiller le vélo.
RépondreSupprimerlili
En effet Scarabée,
RépondreSupprimerla vie est une comédie, le dernier acte est sanglant, quelque belle que soit la comédie et tout le reste; on jette enfin de la terre et en voilà pour jamais"
lili
Magirus ! d'occasion ...
RépondreSupprimerlili
La citation de Pascal était en en réponse à Esprit-i-monde mais elle est valable pour tous.
RépondreSupprimerlili
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RépondreSupprimerL'erreur est de vouloir absolument se fixer ici bas... d'ailleurs les publicistes ont très bien compris le principe et Larousse aussi, si remplis d'inconnus.
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