C'est vrai, beau poème triste aux milieu des cahots du chaos. Mais que vient faire l'image des marins du Potemkine, sur l'Égée peut-être et si proche de la Syrie. La Grèce disparaitra peut-être, telle Eurydice dans un dernier regard à Orphée.
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Sans flagornerie ce texte est sublime, la patrie des philosophes n' est plus mais la France des poètes a encore de l' avenir.
RépondreSupprimerMilles mercis Orfeenix, ce compliment me va droit au cœur
RépondreSupprimerC'est vrai, beau poème triste aux milieu des cahots du chaos.
RépondreSupprimerMais que vient faire l'image des marins du Potemkine, sur l'Égée peut-être et si proche de la Syrie.
La Grèce disparaitra peut-être, telle Eurydice dans un dernier regard à Orphée.