vendredi 31 octobre 2014

allitérations d'état

L’État tue ! Te tairas tu ? Tue l'Etat qui te tue !
éructaient à tue-tête un tas tératologique d'étêtés antipathiques et antiétatiques à têtes de têtards sous tutelle, alteregos altérés de vendettas altergestapistes suite au tyrannicide trépas du Tarn.

À leur tête, Clémentine Autain, hautaine, inclémente et m'as-tu-vu, en totale entente homothétique avec les turpides mutins, tonnait contre Tous et Toutes, et surtout :
Toi qui t'es tu à tous les étages quand l’État tuait, 

étiquetant à la vindicte de ses cent-vingt addictés, les putes et députés de l'État capitaliste.
Tels étaient les étaiements et les atermoiements de la pensée de la Penthésilée dessillée et ceinte du tortil écarlate, et de toutes les autres têtes à turlutes pour qui l'Etat est létal, un étal légal.

Ces tumultes tympaniques et tétaniques se situaient sur le tétragone de l'Hôtel de Vile, devant un étal inesthétique de tudesques patentés de l’État tapette du Tyranneau talmudique revêtu du Talith et testateur testamentaire éternellement ligoté à l'Entité.

- Taratata, débita subito un sergent, étuvé sous l'étatique attirail turquin, têtu, l'étui du 'tue-tue' tout ouvert :

Tout est toc et tic sémiotique dans cet inextricable 'qu'en dira-t-on' de candides et ratons !
On
tue pas sous tutelle Intérieure : on trique les retors et les trottins qui tentent l'émeute et taguent tout, Tarn itou. 
Si l'un d'eux titube et tombe, comme l'Ilote ivre, abattu sur le tertre du site,  qui peut on ? 
Si pour un tout petit tir automatique et tendu on tombe et atterrit dans la tombe, où va-t-on ? 
Si pour une toute petite pétarade térébrante et teinte de TNT, ils ne tiennent plus sur leurs petits petons, qui peut on ? 
Nous, droit dans nos tatanes, on étaie l'Etat, été comme automne, c'est tout !
Et p
our trente thalers par trimestre !
On tue pas gratis, tout à trac, à l'improviste, on tire à vue, du tac au tac, sur tout ce qu'irrite l'Etat des Nantis. 
Enter la matraque sur l'État ploutocrate, tel est notre état, Policiers !

Qu'en dis tu toi qui t'ébaudit ?
Toi pour qui les ternes turbidités trotskistes et les tuantes turlutaines étatiques servent tout autant d'émétique.
FLC

2 commentaires:

Anonyme a dit…

La gauche bourgeoise en manque de martyr, se jette désormais comme une hyène sur le moindre accident ou semi-accident pour le lancer à la face du gouvernement (de gauche bourgeoise aussi) le cadavre fumant d'un "jeune mort pour ses idées" et feindre la radicalité. Comme dans l'affaire Meyric, comme dans l'affaire Fraisse...
Par ce spectacle, le système légitime le remplacement de la lutte des classes dans le cadre national par la mission citoyenne de sauver la planète.

R. Perriot

L'abbé Tymon de Quimonte a dit…

on est bien d'accord !