De la (dé)natalité en Hexagonie..

25% des enfants qui naissent dans l'Hexagone sont issus de l'immigration.

La France est la championne d'Europe de la natalité : avec un indicateur de fécondité de deux enfants par femme en 2006, elle devient, avec l'Irlande, le pays le plus fécond de l'Union européenne.

Le dynamisme de la France lui confère un statut à part dans le débat européen sur l'immigration : les mouvements migratoires ne contribuent qu'à un quart de sa croissance démographique alors qu'ils représentent 80 % de celle des vingt-cinq pays de l'Uni

LE MONDE -22 août 2008.

On voit de plus en plus, dans les classes privilégiées, une pléthore de veillasses de 53ans, comme sur la photo, ignominieusement gravides.

Dans les années 60/70, le Capital Financier, face à la concurrence mondiale décidait de réduire la natalité européenne. Il y avait en Europe, le marché mondial se rétrécissant, trop de forces productives, trop de travailleurs.

La pilule, inventée dès 1957 dans un laboratoire américain, fut le moyen choisi.

Mais il fallait la faire avaler cette pilule.

Pour ce faire on l'enroba d'un sirupeux discours idéologique sur la "libération féminine".

C'est la droite capitaliste au pouvoir qui promut cette politique, en baissant les allocations familiales, en encourageant la baisse de natalité.

Et c'est le parti communiste qui en France s'opposa à cette politique.

Dans le même temps l'avortement, ce malheur, fut exalté au rang des Droits imprescriptibles de la FÂME.

Là encore au premier plan nous trouvons une personnalité de la droite bourgeoise, Mme Veil.

Les féministes, ces chiennes de garde de "l'ordre" capitaliste organisèrent d'incroyables monstrations d'hystérie collective, dans les années mil-neuf-cent-soixante-dix, pour réclamer le "droit à la jouissance sans limite", le droit d'avorter sans frein ni contrôle, des produits contraceptifs en vente libre et remboursés... toutes choses, répètons le, déjà en cours parce qu'elles correspondaient aux impératifs du Capital Financier.

Nos amies les femmes se sont collectivement ralliées et ont interminablement couiné, glapi dans d'incroyables monstrations d'hystérie collective....

Le résultat de cette "émancipation des femmes" fut une baisse catastrophique de la natalité européenne.

Cependant dans le même temps pour casser le coût du travail des travailleurs organisés européen, les patrons, du bâtiment essentiellement, firent venir un prolétariat sous qualifié, taillable et corvéable d'Afrique et d'Afrique du Nord.

Pour écraser la résistance des travailleurs de souche, le regroupement familial, prédendument pour des motifs humanitaires fut promulgué. Toujours par la droite, Giscard, Chirac, contre le PCF....

En outre le changement de paradigme du Capital, fit que ce dernier trouva dans ces multitudes cosmopolites, avides, surexcitées par l'hédonisme ambiant, des troupes supplétives fraîches pour leur lutte de classe.

Donc, dans un premier temps on a remplacé les ouvriers dans les usines.

Ensuite avec le regroupement familial, remplacé les petits enfants européens dans les maternités. Politique délibérée de substitution de population, qui ne se fût jamais réalisée sans l'aide des féministes, chiennes de garde de l'ordre existant, aboyant pour mener les troupeaux d'européennes aux avortoirs, cependant qu'elles n'ont jamais montré les dents devant la stupéfiante arriération du troupeau femelle importé, condition nécessaire pourtant à leur explosion démographique.

Félix le Chat