mercredi 5 août 2009

Scolies sur la grippe bancaire.(2)

§-La grippe comme réponse politique à l’effondrement économique de l’automne ? s'interroge doctement Agora Vox.

§-Les frémissements de la sombre mixture au sang de goret contaminé en train de mijoter, sont destinés à nous faire frémir: voilà le plat empoisonné que l'on va vous faire ingurgiter si vous ne vous tenez pas tranquille!

§- Nous avions déjà exprimé, dans de précédentes Scolies en quoi ce choix initial de l'appellation de la pandémie de porcine, totalement idéologique et tactique, nous mettait sur la piste d'une opération artificielle et fétide.

§-Manipulation humaine sans précédent destinée à endoctriner les masses populaires, et à les manipuler subtilement pour qu'elles soutiennent une politique de santé publique parfaitement inadaptée à la venue d'une pandémie massive, malgré toute la législation existante

§-Les indices que ce virus peut être une création de synthèse sont déjà manifestes. D'autres plus savants le disent. La grippe espagnole avait commencé dans des camps militaires. L'Histoire n'est-elle pas en train de se répéter ?

§-L'avantage du déclenchement actuel d'une pandémie est qu'il répondrait au double objectif de réduire la population mondiale et d'instaurer la dictature policière.
Tous les avantages d'une nouvelle guerre mondiale sans les frais généraux et les dangers mortels qu'une telle aventure représenterait pour la domination de l'Oligarchie financière.

§-La prochaine pandémie mondiale annoncée provoquerait, avec une estimation basse, plus de 500 millions de morts.

§-L'oligarchie financière elle-même, ne voit pas d'issue, dans l'impasse économique
La crise actuelle, qui est encore loin d'avoir dit son dernier mot, s'approfondit tragiquement.
La dite crise des "subprimes", devenue catastrophe financière mondiale a mis impitoyablement sur le devant de la scène le caractère parasitaire et déconnecté de la production réelle de l'actuelle accumulation capitaliste.

§-La crise l'a prouvé : des montagnes de capitaux qui s'entassent ne trouvant plus à s'investir dans l'économie réelle, ont crée cette "bulle" spéculative, gigantesque Tumeur qui suce tous les sucs du sang de la force vive, menaçant le corps social tout entier, de mort.

§-L'Oligarchie n'a eu cesse de claironner, ces trente dernières années, que la première "menace", à ses yeux, c’est la “démographie mondiale”.
§- Ainsi que les vieilles nations historiques qui sont le dernier rempart contre la volonté du capital financier de saisir directement dans ses tenailles d'acier toutes les institutions, tout l'appareil d'Etat avec l'armée, les municipalités, les universités, les écoles, la presse, les organisations syndicales, les services de santé publique.

§-Les travailleurs sont saisis d'épouvante et de colère devant la perspective de devoir se serrer la ceinture un peu plus ou d'être carrément précipités dans le gouffre du chômage pour renflouer les bolges bancaires et ainsi payer de leur chagrin et leur sang les "hugge found", les actifs pourris.

§-La démocratie bourgeoise n'était qu'un luxe aux dépens de l'accumulation nationale des pays industriels antérieure.
C'est terminé. Une période de plus de soixante ans se clôt, qui nous ramène à la veille d'une crise pire que celles qui ont provoqué les deux boucheries européennes.

§-Aujourd'hui le pouvoir politique de l'Oligarchie financière ne tient plus que par le Spectacle, la corruption absolue des partis politiques qui parlent au nom de peuple, le chaos racial et la féminisation de la politique.
Mais ces digues menacent de rompre devant le flot de la colère des masses qui monte.

§-Les déclarations sur « l’inévitable propagation » de la maladie, créent, tout à fait délibérément, une atmosphère de peur, d'insécurité et de panique, qui préparent les mesures coercitives de la dictature policière.

§-Aux États-Unis même, renaît l'aspiration des travailleurs blancs américains à s'élever au niveau des tâches que l'histoire leur a assignées: en finir avec l'oligarchie monopoleuse et spoliatrice.
Cependant, là aussi, les organisations dirigeantes, les bureaucraties syndicales blanches, corrompues et liées au Parti démocrate, ainsi que les masses noires déshéritées, débiles et infectées de racisme, ont facilité et permis l'élection de Monsieur Obama, le meilleur agent pour contenir et paralyser toutes les initiatives d'amélioration de la condition des travailleurs américains.

§-En Europe, l'Etat major concentré de l'Oligarchie, l'Union "européenne", ne voit se dresser en face d'elle aucune force politique organisée. Sauf de façon négative, par l'abstention, populaire et spontanée.

§-Les partis "souverrainistes" étant des bavards impuissants, la totale responsabilité de cette situation incombe à la gauche européenne.

§- En France, la racaille parasitaire qui campe dans les ors du pouvoir, ne tire son arrogance que du barrage des partis de gauche : socialistes, communiste et NPA, des directions syndicalistes, des officines "anti"racistes et féministes, seules à même de tromper, de canaliser et de stopper, au moins momentanément, le torrent de la colère ouvrière et populaire.

§-Les travailleurs doivent subir ce surcroît d'humiliation d'assister, impuissants, à la mise en bière de leur patrie par un agent américain, au remplacement des Affaires Étrangères par un ministère des affaires étrangères à la France, mais pas pour tout le monde, car tout entier tourné vers la défense matérielle et morale inconditionnelle d'un pays étranger.

§-Si les processus en cours d'éclatement et d'atomisation des partis politiques traditionnels représentent une carte politicienne majeure pour le maintien de son pouvoir, dans le même temps l'Oligarchie comprend parfaitement le danger mortel que ce relâchement de la camisole de force politique qui retient le colosse populaire fait courir à sa domination.

§-Cette situation, ouvre à priori un espace propice à la construction d'une véritable force politique révolutionnaire organisée.

§- Pour le moment, la tragique absence de cette force nouvelle, rend l'Oligarchie infiniment plus capable de prévenir la transformation de la situation pré-révolutionnaire actuelle en situation vraiment révolutionnaire, qu'à l'époque des coûteuses, et à l'issue incertaines, guerres mondiales.

§-C'est dans ce cadre qu'il faut comprendre la nouvelle "pandémie", qui sera comme prévue, la nouvelle guerre des "bioterroristes" en blouse blanche.
...à suivre
Félix le chat

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